A un moment donné, j'avais profondément envie d'avoir des amis. Mais personne autour de moi ne paraissait correspondre à l'idée que je me faisais de l'amitié. J'ai dû aller m'installer dans une autre ville pour poursuivre mes études, et je me sentais seule et triste il me semblait que la dureté de cœur était encore la meilleure solution. Si j'étais insensible, je ne me sentirais pas triste quand je suis seule. Je ne souffrirais pas, même si les autres me décevaient.
Cette façon de penser ne m'a pas aidée. Puis je me suis rendu compte que je n'avais pas à combler un vide dans ma vie. Je me suis souvenue d'un passage dans Science et Santé: « L'existence vous semblerait-elle vide sans amis personnels ? Alors le temps viendra où vous serez dans l'isolement, privé de toute sympathie; mais ce qui semble être un vide est déjà comblé par l'Amour divin. » (p. 266)
Cette pensée m'a rendue tout de suite heureuse. Soudain, j'ai senti la présence de l'Amour céleste qui n'a pas de limite.
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