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Mon premier contact avec la Science Chrétienne...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1958


Mon premier contact avec la Science Chrétienne date de l'époque où mon mari me présenta à une personne qui étudiait cette Science. Une année plus tard environ notre fils cadet tomba malade. Le Scientiste Chrétien que nous connaissions vint nous voir, et grâce à son travail l'enfant fut complètement guéri. Plus tard par notre étude de la Science notre famille obtint des ressources suffisantes. Je me joignis à L'Église Mère, à une église filiale, et je suivis le cours d'instruction, chose dont je serai toujours reconnaissante.

Avant de m'intéresser à la Science Chrétienne j'avais été opérée d'un cancer; à mon mari le docteur déclara qu'il me faudrait souvent aller à l'hôpital, car la guérison était impossible. Quand j'étudiai la Science je lus dans un de nos périodiques qu'en allant à l'église nous devrions nous attendre à des guérisons. Je suivis ce conseil. Un mercredi soir on lut un passage de la Bible concernant « la Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, d'auprès de Dieu, prête comme une épouse qui s'est parée pour son époux » (Apoc. 21:2); il était aussi question des anges tenant les coupes pleines des sept derniers fléaux. Après la lecture, quelqu'un donna un témoignage où il fut dit qu'une coupe est faite pour contenir des liquides, mais a peu de profondeur. Cette pensée me vint: L'erreur n'est pas profonde, et comme je suis spirituelle le bien seul peut prendre racine en moi.

En sortant de la réunion j'avais l'impression d'être sur les hauteurs et de ne pas toucher à la terre. Le dimanche suivant après l'église, je fis une promenade. Quand je m'arrêtai pour me reposer un peu, je sentis que la tumeur cancéreuse se détachait. Cela remonte à plus de vingt ans et le cancer n'est jamais revenu.

Pour moi la guérison la plus merveilleuse que nous ayons eue dans notre famille fut celle de ma fille mariée, qui n'est pas Scientiste Chrétienne. A la naissance de son deuxième enfant, on la conduisit dans un grand hôpital où elle subit une opération césarienne. Les choses n'allèrent pas bien; à mon mari et à moi, on dit que la jeune maman allait mourir dans quelques jours, peut-être même quelques heures. Parmi les huit médecins consultés, aucun ne savait que faire. Quand on affirma que notre fille allait mourir, je dis que non. Alors on déclara que si elle vivait elle serait démente, paralysée, incapable de voir, de marcher ou de parler. De retour chez nous, je téléphonai à un praticien de la Science Chrétienne et nous prîmes rendez-vous à l'hôpital. Quand nous fûmes dans la chambre de ma fille, le praticien dit tout haut: « Dieu vous aime. » Il répéta ces paroles deux fois encore — notre fille ouvrit alors les yeux et eut un sourire. Puis elle s'endormit. A partir de ce moment on ne lui donna plus de remèdes.

Quelque temps après, le praticien vint de nouveau voir notre fille. Remarquant dans sa chambre un bouquet de fleurs, il m'en parla comme d'un magnifique symbole. « Regardez la beauté de cette rose, la forme parfaite de ses pétales, sa couleur harmonieuse et son parfum délicat. Maintenant regardons plus loin que la rose; voyons la beauté, la gloire et la vie qui constituent ses qualités. » Puis se tournant vers notre fille il ajouta: « Voyons maintenant chez elle les qualités divines, le pouvoir, la majesté, la gloire de la Vie. »

Il me donna encore d'autres belles pensées que je méditai. J'éprouvai ce que durent ressentir Marthe et Marie quand Lazare, leur frère, fut ressuscité d'entre les morts. Notre fille et son bébé commencèrent à prendre des forces. Précédemment la garde-malade en chef avait dit que pour elle et pour les docteurs, ma fille était condamnée. Plus tard elle affirma d'un air radieux qu'un miracle s'était produit. Quinze jours plus tard, le praticien trouva notre fille assise à la fenêtre, vêtue avec soin. Depuis lors elle a mené une vie très active, faisant son ménage, s'occupant de son mari et des deux enfants. Le cadet âgé de cinq ans est heureux, plein d'entrain.

Il est impossible de dire toute ma reconnaissance envers Dieu au sujet de cette guérison. L'aide du praticien et la grande bienveillance de nos amis sont aussi des sujets de gratitude. Je suis vraiment reconnaissante de ce que notre chère Leader, Mary Baker Eddy, nous donna l'admirable vérité de l'être; j'apprécie nos périodiques, les radiodiffusions et le fait que je suis membre de l'église. —

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