Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer
Articles originaux web

Guéris de la rougeole

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 2021

Paru d'abord sur notre site le 11 janvier 2021.


Lorsque nos deux enfants étaient petits, leur école primaire m’a téléphoné pour me demander de venir les chercher parce qu’ils étaient couverts de boutons. On nous a dit d’appeler les services de santé du comté, ce que nous avons fait. Par la suite, une infirmière à domicile du comté a confirmé que les deux enfants avaient la rougeole et devaient être mis en quarantaine.

Mon mari et moi étions de fervents scientistes chrétiens. Nous avons tout de suite entouré d’amour nos chers petits, à la fois physiquement et mentalement. Cependant, ce diagnostic nous a d’abord déconcertés : notre fils et notre fille étaient adoptés, et les carnets de santé qu’on nous avait remis au moment de leur adoption mentionnaient tous les vaccins et rappels qu’ils avaient eus, y compris la vaccination contre la rougeole pour tous les deux. Peu de temps auparavant nous avions prié au sujet d’une épidémie de rougeole dans notre ville, mais nous nous rendions compte seulement maintenant que nous avions accepté passivement l’idée que ces vaccinations offraient à nos enfants une protection sans faille contre la maladie. Les guérisons que nous avions eues auparavant nous avaient prouvé qu’il existe un moyen plus puissant et plus complet pour établir la santé que les remèdes matériels. 

Sachant que la Science Chrétienne guérirait vraiment mes enfants, je me suis tournée vers le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, afin d’être guidée. En voici un passage : « Gardez la porte de la pensée. N’admettez que les conclusions dont vous voudriez voir les effets se réaliser sur le corps, et vous vous gouvernerez harmonieusement. Lorsque se présente la condition qui, selon vous, occasionne la maladie, que ce soit l’air, l’exercice, l’hérédité, la contagion ou un accident, faites bien votre devoir de gardien et fermez la porte à ces pensées et à ces craintes malsaines. Excluez de l’entendement mortel les erreurs nuisibles ; alors le corps ne pourra en souffrir. » (p. 392) J’étais très reconnaissante, car ces conseils m’ont permis d’être plus vigilante et de garder la porte de mes pensées pour exclure toute notion contraire aux idées de guérison puissantes émanant de Dieu, l’Amour divin. Quelques paragraphes plus loin, on lit : « Demeurez ferme dans votre compréhension du fait que l’Entendement divin gouverne, et que, dans la Science, l’homme reflète le gouvernement de Dieu. » (p. 393)

Depuis que nous les avions adoptés, nos enfants fréquentaient l’école du dimanche de la Science Chrétienne, aussi était-il naturel pour mon mari et moi d’échanger des idées avec eux concernant ce que leur apportait leur Père-Mère Dieu, à savoir le réconfort, l’amour, la joie, la santé et la protection. Nous avons chanté ensemble l’un de nos cantiques préférés, en faisant des gestes de la main. Il commence ainsi : « Bras divins qui nous enclosent / Bras éternels de l’Amour… » Puis nous avons reconnu que les enfants – et tout le monde – étaient « à l’abri… dans les bras de l’Eternel » (John MacDuff, adaptation, Hymnaire de la Science Chrétienne, no 53, trad. © CSBD)

Notre fille nous a dit que ses amies qui avaient des boutons avaient dû rentrer chez elles, et donc que c’était bien d’avoir des boutons. Son papa lui a rappelé cette vérité que son frère et elle avaient apprise à l’école du dimanche : « Il n’y a pas d’endroit où Dieu n’est pas », et il a ajouté qu’à l’école comme à la maison, on s’amuse beaucoup plus quand on n’a pas de boutons.

Pour réconforter mes enfants davantage, j’ai continué de prier, et j’ai été poussée à relire dans la Sainte Bible le passage dans lequel Dieu ordonne à Moïse de mettre sa main dans sa tunique (Exode 4:6). Quand il retire sa main, elle est couverte de lèpre. Dieu lui demande alors de remettre sa main dans sa tunique et sa main redevient saine. Voici ce qu’écrit Mary Baker Eddy à ce sujet à la page 321 de Science et Santé : « Il fut démontré scientifiquement que la lèpre était une création de l’entendement mortel et non un état de la matière, lorsque Moïse mit une première fois sa main dans son sein et l’en retira blanche comme neige, atteinte de la maladie redoutée, et qu’aussitôt il fit reprendre à sa main son état naturel par le même simple procédé. Dieu avait atténué la crainte de Moïse par cette preuve en Science divine… »

Cette révélation était la réponse que j’attendais. Aucune maladie, aucune création de l’entendement mortel (c’est-à-dire la croyance à un entendement séparé de l’Entendement divin, Dieu), quel que soit le nom de l’affection – lèpre, rougeole, etc. – n’a la substance de l’Esprit, Dieu. Comme nous sommes tous les enfants de Dieu, Esprit, nous ne pouvons exprimer que la substance spirituelle. Cette substance étant saine en permanence, la santé est donc notre état naturel. Ces idées m’ont rassurée et mes craintes se sont dissipées.

Le lendemain après-midi, les enfants ne présentaient plus aucun symptôme de rougeole, au grand étonnement de l’infirmière du comté. Elle les a autorisés à retourner à l’école. 

Cette guérison a appris aux jeunes parents que nous étions à ne pas baisser la garde, mais à nous efforcer sans cesse de comprendre que notre famille et notre ville demeurent dans les bras protecteurs et puissants de l’Amour divin.

Judith McCreary Felch
Ellsworth, Maine, Etats-Unis

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / juillet 2021

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.