Je voudrais partager ma profonde gratitude pour une expérience merveilleuse que j’ai vécue grâce à la Science Chrétienne. Lorsque j’étais élève de l’école du dimanche, j’ai beaucoup appris en étudiant les vérités de cette Science divine, et cela m’a été d’une grande aide à l’école et dans ma vie en général.
Plus tard, j’ai suivi le Cours Primaire de Science Chrétienne. Cela m’a aidée à prier pour moi et pour les autres, et m’a permis de trouver des solutions à des situations rudes et complexes. J’ai prié pour rencontrer la bonne personne, et notre mariage s’est révélé épanouissant et heureux.
Une fois mariés depuis plusieurs années, mon mari et moi avons souhaité fonder une famille, mais malheureusement nous n’y parvenions pas. Un médecin que nous avons consulté a clairement exclu pour moi toute chance d’être enceinte sans assistance médicale – et même ainsi, il n’y avait aucune garantie. A ce moment-là, mon mari, qui avait vu les effets de la Science Chrétienne dans sa carrière et dans plusieurs autres aspects de notre vie, m’a aidée à résoudre notre incapacité à concevoir un enfant sans aide médicale. J’ai demandé de l’aide par la prière à un praticien de la Science Chrétienne.
A ce stade, je voulais démontrer davantage de qualités chrétiennes dans mon mariage et dans mes relations en général. J’ai également travaillé, étape par étape, avec des citations de la Bible et de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, en rapport avec l’accouchement. A l’aide des concordances, j’ai réfléchi à la signification spirituelle de mots tels que « fructueux », « productif », « progéniture » et « grossesse ». Peu à peu, j’ai eu une idée plus claire de ce qu’est réellement la conception. Pour donner naissance, il faut d’abord concevoir le bon concept de l’homme, c’est-à-dire de nous tous, et voir que l’homme est spirituel.
Une des définitions du mot « concevoir » est « former des idées » (Dictionnaire Larousse des synonymes), et je me suis donc attachée à l’idée qu’a l’Entendement divin de ma véritable identité et de celle de mon mari – notre nature spirituelle, chacun étant le précieux enfant bien-aimé de Dieu. J’en suis venue à comprendre de plus en plus clairement que la matière n’est pas à l’origine de la vie. Les spermatozoïdes, les ovules, l’âge, n’ont rien à voir avec la véritable conception. Comme le dit Mary Baker Eddy dans Science et Santé : « Les créations grossières de la pensée mortelle doivent finalement faire place aux formes glorieuses que nous voyons parfois dans la chambre noire de l’Entendement divin, quand l’image mentale est spirituelle et éternelle. » (p. 264)
J’avais envie que ce problème soit résolu. Je me suis tournée vers Dieu et j’ai prié ainsi : « Que ta volonté soit faite, pas la mienne. » A ce moment-là, j’ai su que la vraie maternité ne concernait pas seulement le fait de materner un enfant, mais d’exprimer des qualités maternelles d’amour, de douceur, de patience et de gentillesse envers tous ceux qui m’entouraient. J’avais de nombreuses possibilités d’être une bonne mère sans avoir biologiquement mon propre enfant.
Un jour, j’ai ressenti un grand sentiment de paix et de clarté à propos de mon mari et de mon unité inattaquable avec Dieu, l’Entendement, qui ne veut que ce qu’il y a de meilleur pour Sa création. Dieu ne nous donne pas un désir juste sans moyen de le réaliser. Il n’y a jamais d’opération partiellement réalisée ou infructueuse dans le plan de Dieu. Comme le promet la Bible : « Les semailles prospèreront, la vigne rendra son fruit, la terre donnera ses produits, et les cieux enverront leur rosée. » (Zacharie 8:12)
Peu après, nous avons été ravis d’apprendre la bonne nouvelle que j’attendais un bébé.
De nombreux défis se sont présentés, mais j’ai été soutenue par la prière tout au long de ma grossesse par mon mari et par le praticien. Et une chose est devenue claire : rien ne pouvait atteindre cette idée spirituelle. Prier avec la déclaration suivante de Science et Santé s’est un jour avéré être un tournant pour moi : « ...la Science sépare le froment de l’ivraie, grâce à la compréhension que Dieu est toujours présent... » (p. 300) Le bébé s’est magnifiquement développé et s’est trouvé en bonne santé tout au long de la grossesse et après sa naissance.
Mon cœur déborde de gratitude pour ce bel enfant et pour toutes les années au cours desquelles j’ai été amenée à comprendre que Dieu est l’unique créateur. Sans ce défi, je ne pense pas que j’aurais pu croître autant spirituellement.
Merci, mon Dieu. Merci à Christ Jésus. Merci aux praticiens de la Science Chrétienne. Et merci à Mary Baker Eddy de nous avoir donné cette précieuse Science qui nous montre le chemin, pas à pas.
Seema Cama
Singapour