Quand j’étais enfant, j’aimais aller, chaque semaine, à l’école du dimanche de la Science Chrétienne. J’adorais ma monitrice. Elle était toujours si joyeuse. J’aimais être assise autour de la table avec les autres enfants pour discuter des histoires de la Bible. Par-dessus tout, j’aimais ce que j’apprenais, car cela m’apportait énormément de réconfort.
A l’école du dimanche, on parlait de Dieu et on apprenait comment prier. L’une des premières idées avec lesquelles j’ai appris à prier était : « Il n’y a pas d’endroit où Dieu n’est pas. » Cela signifie que Dieu est partout. Que l’Amour (un autre nom pour Dieu) est partout. Il n’y a pas un seul endroit, si minuscule soit-il, où Dieu, l’Amour, n’est pas présent.
A l’école du dimanche, j’ai aussi appris que ces idées dont nous parlions n’étaient pas seulement valables le dimanche, mais tous les jours ! Je pouvais prier avec ces idées et être guérie. Un jour, j’ai décidé de prier toute seule pour des verrues que j’avais sur les mains.
J’ai prié pour comprendre qu’ « Il n’y a pas d’endroit où Dieu n’est pas. » Je n’ai pas seulement prononcé ces mots. J’ai bien réfléchi à ce qu’ils voulaient dire. J’ai écouté en silence pour entendre Dieu me dire combien cette idée était vraie en ce qui me concernait.
Un jour, alors que je priais, j’ai pris conscience que, puisque Dieu est partout, l’Amour doit être partout et toujours présent. Et puisque l’Amour est toujours présent, les verrues ne pouvaient pas être présentes. Là où se trouve l’Amour, la laideur sous quelque forme que ce soit n’a pas sa place.
Ce qui est cool avec la prière, c’est que lorsque Dieu te montre quelque chose de nouveau et de vrai, ça devient une évidence. C’est comme savoir que 2+2=4. Une fois que tu le sais, tu ne peux plus jamais admettre que 2+2=5. Parce que tu sais quel est le fait réel.
C’est ce qui s’est produit pour moi avec mes mains. Une fois que j’ai su que seul l’Amour était présent, je n’ai plus pensé aux verrues. Et rapidement, j’ai remarqué qu’elles avaient complètement disparu. J’étais guérie.
J’étais si reconnaissante de cette guérison que je l’ai même racontée lors d’une réunion de témoignage du mercredi à mon église. C’était le premier témoignage que je donnais ! J’ai aimé partager ce que j’avais appris à l’école du dimanche et comment cela m’avait aidée.
C’est amusant de mettre en pratique ce que l’on apprend au sujet de Dieu, et cela apporte la guérison. C’est également super de le raconter aux autres et cela peut les guérir aussi.
Essaye !
