Les praticiens de la Science Chrétienne entendent certains patients leur dire, lorsqu’ils sont aux prises avec une maladie ou un problème : « Je sais que c’est dans ma propre pensée. » De telles personnes font preuve de cruauté envers elles-mêmes.
Pour ne pas se laisser aller à la moindre forme d’erreur et de matérialisme, et pour ne pas non plus les ignorer, il faut y faire face dans notre propre pensée, avec ou sans l’aide d’un praticien. Mais si l’erreur se traite bel et bien dans notre propre pensée, puisque le physique n’est rien de plus que la manifestation extérieure du mental, l’erreur ne fait jamais vraiment partie de notre pensée.
Fort heureusement, l’erreur n’est pas personnelle et elle n’est pas réelle. C’est toujours une suggestion d’un aspect de la crainte, de l’ignorance ou du péché propre à l’entendement charnel, c’est-à-dire la croyance du monde à la présence et au pouvoir du mal, qui, bien sûr, cède inévitablement à l’exercice de l’intelligence divine. La Science Chrétienne fait une distinction entre l’homme spirituel, réel et parfait de la création de Dieu, et le concept erroné d’un homme matériel et limité. Elle enseigne que la vraie conscience de l’homme est toujours exempte d’erreur parce qu’elle reflète Dieu, l’unique Entendement divin infaillible.
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