Lorsque mon père a été muté à Chandigarh, en Inde, en 2013, le plus beau cadeau que ma mère ait reçu d’une nouvelle amie a été la Science Chrétienne. J’ai commencé à fréquenter l’école du dimanche de la Science Chrétienne en 2017. Depuis lors, j’ai eu de nombreuses guérisons et j’ai résolu de nombreux problèmes liés à mon admission à l’université, aux relations avec mes colocataires, aux examens et à mon état de santé. J’aimerais exprimer ma gratitude pour la guérison récente d’une blessure due à un accident.
Pour obtenir la licence d’ingénierie électrique dans mon université, le programme d’étude m’a imposé de participer à un atelier sur les processus de fabrication.
Un jour, nous devions travailler sur des tôles galvanisées. Avant de commencer, notre instructeur nous avait demandé de manipuler ces tôles soigneusement, car même une blessure mineure pouvait avoir des conséquences importantes, et il nous a décrit les symptômes qui pouvaient résulter d’une simple coupure. Bientôt, nous avons commencé le travail de découpage.
Après avoir terminé mon travail sur la feuille de tôle, j’ai commencé à la retirer du support en métal, et elle est sortie brusquement, faisant une entaille sur la partie inférieure de mon pouce. Immédiatement, me rappelant ce que notre instructeur nous avait dit sur les effets néfastes de ce type de blessure, j’ai été saisie par la peur.
De retour dans ma chambre, j’ai décidé de faire appel à une praticienne de la Science Chrétienne pour m’aider par la prière à dissiper les craintes liées à ce qu’avait dit l’instructeur. La praticienne a partagé avec moi le passage suivant de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, p. 397 : « Quand un accident se produit, vous pensez ou vous vous écriez : “Je me suis fait mal !” Votre pensée est plus puissante que vos paroles, plus puissante que l’accident même, à rendre le mal réel.
« Faites donc l’inverse. Déclarez que vous ne vous êtes pas fait mal et comprenez pourquoi, et vous verrez que les bons effets qui s’ensuivront seront exactement en proportion de votre incrédulité à l’égard de la physique et de votre fidélité à la métaphysique divine, de votre confiance en Dieu comme étant Tout, ainsi que Le proclament les Ecritures. »
J’ai prié en ce sens et j’ai commencé à comprendre que Dieu est le seul pouvoir réel. Le fait de voir que Dieu, qui est Esprit, est Tout, m’a aidée à comprendre que la matière n’est pas réelle et n’a donc pas de sensation. Et, puisque nous sommes spirituels, nous ne pouvons véritablement ressentir que ce qui est spirituel. Ce raisonnement est basé sur « l’exposé scientifique de l’être », que j’ai appris à l’école du dimanche, et qui dit entre autre : « L’Esprit est le réel et l’éternel ; la matière est l’irréel et le temporel. L’Esprit est Dieu, et l’homme est Son image et Sa ressemblance. Donc, l’homme n’est pas matériel ; il est spirituel. » (Science et Santé, p. 468) Je savais que toute blessure est irréelle parce qu’elle ne vient pas de Dieu, qui est entièrement bon.
Quand je me suis réveillée le lendemain, j’ai remarqué que la plaie était quasiment refermée et que la douleur avait disparu. Aucun des effets prédits par l’instructeur ne s’est produit. Le pouce entaillé a retrouvé son apparence normale en deux jours.
Je suis profondément reconnaissante à Dieu pour cette belle guérison, à Mary Baker Eddy pour son livre, Science et Santé, et à la praticienne pour son aide par la prière.
Shrinkhala Sao
Chandigarh, Inde
