Ce qui suit est un résumé légèrement modifié de l’Assemblée annuelle de L’Eglise Mère 2018, qui s’est tenue le 4 juin, dans l’Extension de L’Eglise Mère, et qui a été retransmise en direct sur Internet. Pour regarder la vidéo, rendez-vous sur ChristianScience.com/assemblee-annuelle. Les liens indiqués tout au long du rapport seront disponibles jusqu’au 3 juin 2019.
Pour ouvrir l’Assemblée annuelle, Madame Robin Hoagland, actuelle présidente du Conseil des directeurs de la Science Chrétienne, accueille les membres de l’Eglise dans le monde entier. Après le chant du cantique 601 dans le nouvel hymnaire, Christian Science Hymnal: Hymns 430–603, elle présente les officiers de L’Eglise Mère : Mary Baker Eddy, Pasteur Emérite, Monsieur Scott Preller, Monsieur Skip Phinney, Madame Margaret Rogers et Monsieur Rich Evans, membres du conseil, Madame Suzanne Riedel, secrétaire, Monsieur Lyon Osborn, trésorier, Monsieur Louis Benjamin et Madame Diane Marapodi, Premier Lecteur et Deuxième Lectrice, et, venu de Corpus Christi, Texas, Etats-Unis, Monsieur Keith Wommack, président de l’Eglise pour l’année qui vient.
M. Wommack lit des passages de la Bible, de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, et d’Ecrits divers 1883-1896 de Mary Baker Eddy :
Jean 5:2-10 à (jusqu’à sabbat), 15-17, 19
Matthieu 10:1, 5, 9 (jusqu’à suivantes), 8
Matthieu 23:12
Galates 5:25
II Corinthiens 8:7, 8
Science et Santé 138:18–22
Science et Santé 52:21-24
Ecrits divers 59:31
Science et Santé 52:21-24
Science et Santé 365:34
Science et Santé 496:14-16
La lecture est suivie d’une prière silencieuse et de la répétition de la Prière du Seigneur. Puis M. Wommack présente une vidéo faite de courtes conversations avec des membres de L’Eglise Mère qui ont participé aux réunions avec le Conseil des directeurs de la Science Chrétienne organisées dans le Champ (voir URL ChristianScience.com/assemblee-annuelle/Directeurs).
« Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit. »
Robin Hoagland : Nous ne dirons jamais assez combien nous avions l’impression d’être en famille lors de ces réunions. Mais c’était bien plus qu’une réunion de famille. Nous avons senti l’Esprit nous rassembler, animer ces réunions.
Skip Phinney : Pendant ces voyages dans le champ, nous n’avons pu nous empêcher de remarquer qu’il y avait un nouvel esprit : une plus grande préoccupation les uns des autres, un désir de travailler ensemble, faisant preuve de patience les uns envers les autres.
Rich Evans : J’ai été frappé au cours de nos voyages, par une expansion de la pensée et une sincérité du cœur qui étaient réellement palpables.
Scott Preller : Je pense que cette capacité de s’unir dont parlait Robin a pour origine un christianisme plus mûr où ce ne sont pas simplement des membres de la famille qui se réunissent pour une fête et passer un bon moment, mais pour vivre réellement en veillant les uns sur les autres. Nous n’avons pas à faire face aux difficultés avec crainte. Nous avons démontré la Science du Christ à maintes et maintes reprises, avec sérieux. Donc nous pouvons aller de l’avant avec confiance.
Margaret Rogers : En outre, il est important de voir que lutter, ce n’est pas échouer. Très souvent, les difficultés que nous rencontrons pour démontrer l’amour de Dieu et la vie de Dieu tiennent à la grande résistance qu’oppose le monde. C’est comme les fusées qui doivent sortir du champ de gravitation de la terre. Ce n’est pas notre énergie personnelle qui va nous en sortir, mais l’énergie divine de l’Esprit que nous possédons tous.
Robin Hoagland : C’est une période où on a besoin de chaque membre. Ce qui touche l’un nous touche tous, car nous formons un seul corps en Christ. Nous avons vu des actes de violence insensés contre des personnes que nous aimons et dans les villes où nous habitons. Certains de nos membres ont été affligés par des événements catastrophiques.
Nous sommes allés à Londres, à Manchester, à Paris, qui ont toutes connu des attentats terroristes l’an dernier. Et quand nous étions au Texas, en Floride et en Californie, nous avons appris que des membres ont été affectés par des ouragans destructeurs et de violents incendies. Mais ce qui nous a beaucoup émus, c’est la façon dont nos membres prient Dieu. Ils se détournent de la scène souvent mesmérique qui les entoure et répondent aux besoins de leurs membres et des habitants de leur ville.
Robin Hoagland présente une vidéo où des membres parlent de la façon dont ils ont prié pour leur localité face aux attaques terroristes, aux incendies de forêts et autres difficultés (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/des-membres-prient).
Robin Hoagland : Nos membres veulent avoir un impact quant à ces évènements extraordinaires qui caractérisent notre époque. Mais une chose à laquelle nous aimerions réfléchir aujourd’hui, c’est le fait de dépasser le niveau initial de la bonté humaine pour rechercher la guérison.
Scott Preller : Quand on réfléchit à la manière d’être plus efficace dans ces situations, on découvre une nouvelle profondeur à la signification du thème de l’Assemblée annuelle de cette année, « Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit ». Pour moi, la profondeur de ce thème m’a été révélée quand je me suis demandé quel serait le contraire de ce thème. Ce serait quelque chose comme « Si tout est matière, allons nulle part dans la matière. » Mais ce qui est toujours exigé de nous, c’est de voir la totalité de l’Esprit et de la vivre.
Robin Hoagland : Cela nous ramène à la lecture de Keith. Si nous devons suivre Christ Jésus, il nous faut marcher selon l’Esprit, marcher selon l’Amour.
Keith Wommack présente une vidéo de l’interview de Nancy May Perry qui habite à Ojai, en Californie. Elle a senti l’amour maternel de l’Eglise pendant les incendies de forêt qui ont sévi dans sa région l’an dernier (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/Nancy-Perry).
Rapport de la secrétaire
Suzanne Riedel présente Madame Jose Ocaña d’Espagne et Monsieur André Kisonga de la République démocratique du Congo, qui représentaient 23 coordinateurs de la communication (CC) travaillant avec l’équipe internationale du service de la secrétaire, afin de faciliter la communication entre l’Eglise et leurs champs respectifs.
Suzanne Riedel : Ces trois années et demie passées à L’Eglise Mère en qualité de secrétaire m’ont permis de prendre connaissance des besoins des membres dans de nombreuses régions du monde. J’ai eu le grand privilège de voyager, de parler, de réfléchir avec des membres et des sympathisants de très nombreux pays du monde. Je me suis rendue au Japon, à Porto Rico, en Indonésie, en Inde, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Zimbabwe et en Zambie. Et à la fin de la semaine, je pars au Cameroun.
Quelles que soient les cultures, les langues et même les distances, je suis très reconnaissante que ce soit l’Amour divin qui s’adresse à ces membres de L’Eglise Mère dans de nombreuses régions du monde.
Nous avons pensé que vous aimeriez écouter directement José et André parler de la façon dont ils apportent leur soutien à leur champ.
Jose Ocaña : Ce que j’aime concernant mon champ, c’est que cela n’a pas d’importance que nous soyons membres d’une filiale, d’un groupe informel ou que nous soyons juste des membres individuels dans une région éloignée. Membres d’une même famille, nous prenons soin les uns des autres, nous nous soutenons les uns les autres et entretenons des conversations sur la Science Chrétienne. On a vraiment le sentiment d’appartenir à une famille.
Comme dans toute famille, nous ne sommes pas toujours d’accord, mais en pensant à notre unité avec Dieu, nous sommes conduits vers l’unité et reconnaissons que chacun de nous a un rôle unique à jouer.
André Kisonga : Dans mon champ, nous avons monté des ateliers ayant pour thème « le gouvernement ». Nous avons découvert que le vrai gouvernement, c’est l’Entendement divin, et que toute chose, toute personne dans l’univers de Dieu est gouvernée par Dieu. Le mal n’est jamais une personne ni un pouvoir, et l’Eternel « anéantit les projets des peuples » (psaume 33:10). Et personne ne devrait souffrir ou encourir un châtiment à cause des fautes des autres. Quels que soient les problèmes que nous rencontrons, nous pouvons toujours les résoudre en nous tournant vers Dieu et en remplaçant les erreurs de la pensée par la vérité spirituelle.
Rapport du trésorier
Robin Hoagland : Le Manuel de notre Eglise demande au Conseil des directeurs de préciser le montant des fonds que l’Eglise détient, le montant de son endettement et des dépenses exposées pendant l’année écoulée. Durant le dernier exercice financier, qui s’est clôturé le 31 mars, le montant des dépenses a atteint 121 millions de dollars, ce qui représente une augmentation de 31 millions par rapport à l’exercice précédent. Lyon, d’où vient l’augmentation de nos dépenses ?
Lyon Osborn : L’année dernière, les dépenses liées aux activités de guérison de l’Eglise, ce qui inclut les dépenses liées à la publication, étaient sensiblement les mêmes que l’année précédente. Mais nous avons dépensé davantage en ce qui concerne le maintien des bâtiments. Cela inclut la consolidation et la rénovation des espaces de bureaux dans la société d’édition, la rénovation des édifices d’église pour l’avenir, et pour redonner une nouvelle vie à la Plaza de la Science Chrétienne qui entoure tous les bâtiments de l’Eglise.
Le Conseil des directeurs a assigné des fonds spéciaux qui viennent de l’épargne de notre Eglise p0ur régler les coûts de ces projets importants qui s’étendent sur plusieurs années. Si vous souhaitez suivre les progrès de ces travaux, vous pouvez vous connecter à ChristianScience.com et cliquer sur le lien « Plaza updates » qui se trouve en haut à droite de la page d’accueil et qui vous permettra d’avoir les dernières nouvelles de la Plaza.
Robin Hoagland : Les économies de l’Eglise sont bien l’un des domaines où nous pouvons constater la croissance financière dont vous avez parlé. Le 31 mars, le total des fonds détenus par l’Eglise représentait un milliard et 83 millions de dollars, soit une augmentation de 111 millions de dollars par rapport à l’année précédente. Lyon, même si l’Eglise a dépensé davantage l’année dernière, nous constatons une augmentation substantielle de nos fonds. Pourriez-vous nous en expliquer les raisons ?
Lyon Osborn : Il y a trois raisons principales à cela. D’abord, l’Eglise a maintenu un équilibre financier entre les dépenses et les recettes, ce qui inclut les ressources de vos abonnements ainsi que vos dons généreux. Ensuite, alors que l’économie mondiale et les marchés connaissent la croissance, la valeur des fonds investis par l’Eglise a également augmenté. Enfin, les revenus provenant des ventes et des baux de longue durée que nous avons consentis sur nos biens immobiliers ont continué de s’ajouter au total des fonds détenus.
Robin Hoagland : Avec la consolidation de notre structure financière, au cours des dernières années, on nous pose fréquemment la question de savoir ce que nous allons faire avec ces fonds. Parfois cela semble vouloir dire, « Pourquoi ne pas distribuer gratuitement nos publications ? » Lyon, en votre qualité de trésorier et d’administrateur de la Société d’édition, pouvez-vous partager avec l’assemblée notre point de vue en la matière ?
Lyon Osborn : Il est important de se rappeler que Mary Baker Eddy a établi la société d’édition comme un bras de l’Eglise pour soutenir ses activités. Elle s’attendait à ce que le contenu exact et plein d’inspiration des publications, qui est source de guérison, génère des revenus et apporte sa contribution financière à l’Eglise. En outre, la Société d’édition propose des programmes d’assistance financière.
Au cours des dix dernières années nous avons vraiment constaté un changement. Grâce à votre soutien, le déficit de La Société d’édition a été réduit de moitié par rapport à ce qu’il était il y a une dizaine d’années.
Robin Hoagland : Alors, si la Société d’édition était censée apporter une contribution financière à l’Eglise, la question est de savoir si nous devons utiliser ces fonds pour de nouvelles initiatives de croissance, soit ici à Boston soit dans le monde.
Lyon Osborn : Cela aurait du sens si l’augmentation de nos dépenses résultait en un plus grand intérêt envers l’Eglise. Mais cela n’a pas été le cas dans l’histoire de notre Eglise. Lors de périodes de grande croissance, les dépenses de l’Eglise étaient relativement modestes.
Aujourd’hui, nous voyons des signes que le mouvement croît et se renouvelle, cela vient naturellement de la guérison et du fait de partager la Science Chrétienne. Aucune somme dépensée ici à Boston ne peut se substituer au travail essentiel des membres qui mettent la Science Chrétienne en pratique.
Robin Hoagland : Avec la situation financière saine que nous vous avons rapportée, il n’est pas surprenant que l’Eglise n’ait pas de dettes. Mais nous pourrions dire que nous sommes endettés vis à vis de nos membres qui vivent cette Science et qui donnent si généreusement à l’Eglise.
Keith Wommack présente une vidéo où Nancy Challenger nous montre que la guérison et le partage vont bien ensemble (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/Nancy-Challenger).
L’Assemblée fait ensuite une pause en chantant le cantique 453 dans le nouvel hymnaire.
Rapport du Comité de Publication
Kevin Ness : Le travail du Comité de Publication élimine les barrages, de sorte que la Science du Christ peut atteindre toute l’humanité. En même temps que le Conseil a vu un accroissement de la vitalité spirituelle au sein du mouvement, il n’est pas surprenant que nous ayons constaté davantage de commentaires dans le public concernant la Science Chrétienne cette année. Je peux partager avec vous trois impostures que nous avons fréquemment rencontrées et auxquelles vos prières spécifiques profiteraient grandement.
Tout d’abord, l’imposture – ou la fausse prétention – selon laquelle la guérison par la Science Chrétienne n’est pas efficace, ou que le fait de s’appuyer sur la prière dans les moments difficiles est déraisonnable et revient à ne rien faire. Cette prétention exige que nous nous consacrions bien plus à la guérison, que nous affirmions et démontrions avec conviction l’efficacité et la constance du pouvoir divin de guérir.
Un autre cliché consiste à dire que les scientistes chrétiens sont dogmatiques et voudraient donc imposer leurs croyances aux autres. Cela nous a donné l’occasion de réaffirmer publiquement que nous obéissons à la Règle d’or en manifestant du respect pour les autres, plutôt qu’en leur imposant ce que nous croyons, et que nous obéissons aussi aux lois de nos pays respectifs, même si nous avons une grande conviction dans notre propre pratique de la guérison.
Enfin, la troisième prétend que la Science Chrétienne n’est plus d’actualité dans la société technologique d’aujourd’hui. Si nous décelons que nous acceptons ce genre de pensées, nous devons d’abord les corriger pour nous-mêmes. Il se passe beaucoup de bonnes choses – une vitalité évidente dans les rapports reçus des différents champs que nous avons entendus aujourd’hui, et dans nos publications tout au long de l’année.
Keith Wommack remercie Kevin Ness et accueille le Conseil qui remonte sur scène pour une dernière conversation portant sur la question « Où tout cela nous mène-t-il aujourd’hui ? »
Robin Hoagland : C’est une grande question, Keith, et nous allons en découvrir la réponse ensemble. Mais nous ne sommes pas seuls pour faire cela, n’est-ce pas ? Nous avons notre Pasteur qui est unique et toujours présent. Une des histoires les plus émouvantes que nous avons entendue cette année a trait à notre Pasteur, et elle vient de notre famille de l’Eglise qui se trouve au sud-est du Nigéria. Pendant les dix dernières années, des volontaires ont travaillé sur une traduction de notre livre d’étude. Et l’année dernière, ces efforts se sont unis pour conduire à une traduction en igbo, la langue locale.
Robin Hoagland présente une vidéo montrant les membres de L’Eglise Mère du Nigéria qui s’expriment sur ce que la traduction de Science et Santé signifie pour eux (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/Igbo).
Robin Hoagland(tenant à la main un exemplaire de la traduction) : C’est le travail de l’amour. Incroyable, non ?
Bon, nous ne pouvons pas tous traduire Science et Santé dans une autre langue mais il nous est demandé d’interagir avec notre Pasteur de façon profonde et significative. D’après vous quelles sont les choses que nous pouvons tous faire et quelle différence cela fera-t-il ?
Margaret Rogers : Je réfléchissais à une chose que Nancy Challenger a dite dans sa vidéo, concernant la nécessité d’aimer le Saint-Esprit. Le « Saint-Esprit » est défini dans le Glossaire de Science et Santé comme étant la Science divine (p. 588). Cela peut sembler assez simple, mais en effet combien de temps passons-nous à faire en sorte que le Saint-Esprit fasse quelque chose pour nous au lieu d’aimer simplement la Science, la vérité de ce que nous sommes et de ce que nous avons ?
Rich Evans : J’aime, à la page 248 de Science et Santé,la référence qui est faite au modèle mortel et au modèle parfait, et au fait que nous pouvons changer de modèle, virer à 180 degrés et avoir la vision correcte de nous-même qui nous sort de l’ornière et nous mène là où nous pouvons être utile à l’humanité.
Scott Preller : Lorsqu’on regarde les visages de ces gens qui travaillaient sur la traduction en igbo, ils nous indiquent avec force que l’idée de s’engager avec notre Pasteur ou de s’impliquer dans le travail de l’Eglise n’est rien d’autre que pure joie.
Skip Phinney : Je me disais combien il était approprié de terminer sur la traduction en igbo de Science et Santé, et sur ce que Science et Santé représente pour nous. Pendant les derniers temps où Mary Baker Eddy était parmi nous, elle ne demandait pas qu’il y ait davantage de monde dans les églises. Elle ne demandait pas qu’on en construise de nouvelles. Elle demandait plus de guérisons grâce à ce qui se trouve dans le livre d’étude, parce qu’elle savait que c’était la révélation d’un monde entièrement nouveau, un nouvel univers spirituel, qu’elle avait couché sur le papier. Elle savait quel effet cela avait eu sur elle, comment cela avait été à l’initiative de l’Eglise et causé son développement, et était la raison pour laquelle elle grandissait. Et donc elle nous recommandait avec insistance de revenir aux livres, comme quelqu’un l’a récemment dit.
Robin Hoagland : Alors pour résumer un peu toutes ces idées : nous parlons de la joie et de l’amour. Si vous n’avez pas encore vu l’atelier de samedi sur les écoles du dimanche et sur les salles de lecture, ou bien « Marcher avec la Parole », nous vous invitons à en regarder les vidéos (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/salle-de-lecture-et-ecoles-du-dimanche et ChristianScience.com/assemblee-annuelle/marchons-avec-la-parole). Nous pensons que vous allez beaucoup les apprécier.
Robin Hoagland présente une vidéo où Monsieur Herb Webb, l’un des participants à l’atelier « Marcher avec la Parole », parle du Pasteur de la Science Chrétienne comme « de la chose la plus précieuse, qui revêt la plus grande signification pour moi ». « Rien n’est plus important dans ma vie que d’étudier la Bible et Science et Santé, et de mettre en pratique ce qu’ils contiennent. Cela en vaut vraiment la peine à cause de l’inspiration et de la compréhension que cela apporte. (voir ChristianScience.com/assemblee-annuelle/Herb-Webb).
L’Assemblée annuelle s’est conclue par une prière silencieuse suivie du cantique 139 dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne et d’une bénédiction lue par Keith Wommack. (psaume 89:16).