Je souhaite exprimer ma gratitude pour la guérison de calculs rénaux grâce à la Science Chrétienne. Ce mal avait déjà touché plusieurs personnes de ma famille. J’avais entendu ma mère, mon père et mes deux jeunes sœurs parler de ses symptômes, des traitements médicaux appropriés et de la longue durée de ce problème.
Un vendredi après-midi, j’ai ressenti les premiers symptômes – y compris une douleur atroce – de ce qui ressemblait tout à fait à ce que décrivait ma famille. Je n’avais jamais rien connu de tel. Je me suis tout de suite tourné vers la Bible et Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy, car je pensais que mon état nécessitait un traitement métaphysique spécifique et direct. Pour inspirer ma prière, j’ai noté des citations qui m’ont aidé à retrouver mon calme.
Par exemple, dans Science et Santé, dans le chapitre sur la « Pratique de la Science Chrétienne », j’ai relevé ce passage du procès allégorique d’un homme « accusé d’avoir “commis” une maladie de foie » (p. 430) : « Au tribunal de l’Esprit divin, nous n’avons pas de cas de maladie à juger. Là l’Homme est déclaré innocent de l’infraction aux lois physiques, attendu qu’il n’existe pas de telles lois. » (p. 441) J’ai donc reconnu mon innocence et le fait que je ne pouvais être l’esclave d’aucun mal.
Le cantique 20 (Kate L. Colby, adapté, traduction © CSBD) dans l‘Hymnaire de la Science Chrétienne, m’a également aidé :
L’éternel Dieu seul est parfait
Et ton vrai moi se trouve en Lui ;
L’homme réel – Son fils – paraît
Sitôt que la Vérité luit.
J’ai vu que mon moi parfait n’incluait pas la douleur et qu’il n’avait besoin d’aucun remède matériel. De plus, j’ai compris que cette guérison pouvait être immédiate, de même que l’obscurité se dissipe dès qu’on applique « la Vérité [qui] luit ».
J’ai pensé à ces paroles de l’Evangile selon Matthieu (3:17) après que Jésus a été baptisé par Jean : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. » En reconnaissant que le moi spirituel éternel de Jésus – le Christ – était parfait et aimé de Dieu, j’ai aussi reconnu ma vraie nature – celle d’un fils aimé de Dieu – spirituelle et parfaite en tout point, et non liée à l’hérédité, à des désagréments ou à une histoire humaine.
Un autre passage de Science et Santé m’a aussi encouragé à persévérer dans mon choix de la Science Chrétienne. Le voici : « Pour faire disparaître l’inflammation, résoudre une tumeur ou guérir la maladie organique, j’ai trouvé la Vérité divine plus puissante que tout remède inférieur. Et pourquoi pas, puisque l’Entendement, Dieu, est la source et la condition de toute existence ? » (p. 180)
J’ai médité plusieurs fois un certain nombre d’idées curatives contenues dans ces citations jusqu’à ce qu’elles soient bien ancrées dans mes pensées – notamment l’idée de mon innocence, le fait que je suis l’enfant de Dieu, que je ne suis pas gouverné par des actions ou des conditions organiques, mais par la Vérité. Je me suis ouvert avec ferveur à ces idées qui guérissent, et j’ai su que rien ne pouvait faire obstacle au pouvoir de la Vérité.
Je suis tombé dans un profond sommeil. A mon réveil, le dimanche matin, je n’avais plus aucun symptôme de cette affection. Je me sentais en pleine forme.
Je suis profondément reconnaissant de cette démonstration du pouvoir de guérison de la Science Chrétienne, obtenue il y a plus d’un an.
Wayne Hawkins
Dayton, Ohio, Etats-Unis