Il y a quelques années, je me suis rendu compte que j’avais une vilaine grosseur au bras, et cela m’a effrayée. Mais mon étude de la Science Chrétienne m’apprenait à connaître Dieu ! J’ai prié en partant du point de vue qu’Il est Tout, et que l’univers, y compris moi-même, est l’expression permanente et parfaite du bien, qui est Dieu, notre Père. Quand j’ai reconnu que c’était là un don de Dieu, ma crainte a diminué.
J’ai bien compris que ce qui n’était pas bon ne pouvait provenir de notre Père, et n’était donc pas réel. Alors je n’avais pas besoin de regarder sans cesse ce qui n’était pas réel.
J’ai cessé de croire à la réalité de ce qui était dissemblable à Dieu, et j’ai accepté Sa promesse selon laquelle tout ce qu’Il a fait est très bon (voir Genèse 1:31). Dieu n’a pas dit qu’Il vit tout ce qu’Il avait fait et que Sa création était presque entièrement bonne. Non ! « Tout » ce qu’Il avait fait était très bon ! Je pouvais avoir confiance dans cette promesse.
Je me souviens très bien avoir pensé : « Pourquoi chercher à éliminer ce qui n’a jamais existé ? » La grosseur a diminué pour finalement disparaître sans laisser de trace. Ce que j’avais cru voir était illusoire, comme le mirage d’une flaque d’eau sur l’autoroute.
Armée d’une plus grande confiance en Dieu, j’apprends maintenant que je ne peux avoir que ce qu’Il me donne. Et ce que Dieu me donne et qu’Il dispense éternellement, c’est le bien spirituel, la joie et la santé.
Jan Klesse
New Hartford, New York, Etats-Unis 
Paru d'abord sur notre site le 14 novembre 2017.
 
    
