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Article de couverture

J’ai trouvé Dieu et cela a transformé ma vie

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 2015

Original en espagnol


Lorsque j’ai connu la Science Chrétienne, j’avais tout ce qu’on peut désirer : la jeunesse, de l’argent, un bon statut social, des diplômes universitaires, mais j’étais en très mauvaise santé. On m’avait dit que j’avais des calculs biliaires et des calculs rénaux. Je souffrais beaucoup, et j’étais incapable de me lever. Les médecins m’avaient annoncé que je devais me faire opérer.

Un jour, une parente en visite à la maison m’a parlé de la Science Chrétienne. Elle m’a laissé plusieurs numéros du Héraut de la Science Chrétienne espagnol et un Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy en espagnol. Elle m’a expliqué que cette Science ne ressemblait à aucune religion, et que cette lecture me ferait réfléchir. A l’époque, je me considérais comme une libre penseuse et j’étais athée, alors j’ai accepté de relever le défi pour voir de quoi il retournait.

Cette nuit-là, je me suis mise à lire le livre et j’ai continué jusqu’à ce que je me rende soudain compte que l’aube était venue. Mais j’ai poursuivi ma lecture. Chaque chapitre était plus merveilleux que le précédent, et je constatais avec plaisir que je me sentais bien. Au début, c’est à peine si je pouvais tenir le livre, j’étais incapable de lire normalement, je ne pouvais rien faire. Et soudainement, j’étais assise, le livre bien en main, en train de lire. Alors qu’il faisait très froid, cette nuit-là, je ne m’en rendais pas compte, je ne sentais rien.

L’un des passages qui m’a frappée tout particulièrement se trouve dans le chapitre « Les pas de la Vérité » : « Le temps viendra où “tous Me connaîtront [Moi, Dieu], depuis le plus petit jusqu’au plus grand”. Nier les prétentions de la matière, c’est faire un grand pas vers les joies de l’Esprit, vers la liberté humaine et le triomphe final sur le corps. » (p. 242) Je me suis alors rendu compte que j’étais une personne triste et d’humeur chagrine. Rien ne me rendait heureuse ni n’était suffisant à mes yeux. Tout m’ennuyait, même le bruit. La prise de conscience de cet état d’esprit qui nécessitait une guérison a été précieuse.

Le jour suivant, je me sentais bien. J’ai mangé sans problème tout ce que ma mère m’avait préparé. Je me suis levée et j’ai repris une vie normale.

Cinq jours plus tard, je suis allée voir le docteur ainsi que nous en avions convenu, et je lui ai dit que je me sentais très bien, comme si je n’avais jamais été malade. Tout en remarquant que la couleur de ma peau avait changé, que je n’avais plus le teint maladif, il a soutenu qu’il était impossible que je sois guérie, que c’était probablement une amélioration provisoire, et que je n’échapperais pas à une opération par la suite. Je ne suis jamais retournée le voir car la guérison a été permanente. La douleur et les autres symptômes de la maladie n’ont jamais réapparu.

La lecture de Science et Santé m’a beaucoup inspirée, parce que j’ai appris que la Science divine révèle toutes les grandes vérités qu’enseigna Christ Jésus sans jamais avoir peur ni obéir à l’erreur sous quelque forme que ce soit – notamment la vérité au sujet de notre identité spirituelle et de la vie éternelle. J’ai vu que j’avais besoin de changer. Je me suis mise à étudier tous les jours les Leçons bibliques de la Science Chrétienne, à fréquenter régulièrement les services d’église, à prendre activement part à la vie de l’église, et mon humeur a changé peu à peu. Aujourd’hui, je suis une personne plus joyeuse et plus spontanée qu’autrefois.

Grâce à l’étude de la Science Chrétienne, j’ai compris que Dieu est Tout-en-tout, qu’Il domine sur toutes choses, et que Son gouvernement est suprême et merveilleux. Cela m’a été salutaire, car jusque-là je m’étais toujours appuyée sur mes propres forces et ma volonté personnelle. J’ai évolué dans ma façon de penser à mesure que je comprenais l’importance de l’humilité, comme l’enseigne le Christ. J’ai appris que je suis toujours soutenue par Dieu, l’Amour divin. Et quand je prie sincèrement pour être guidée par Dieu et que, dans le calme, je reconnais Son pouvoir et Sa présence, je suis certaine d’obtenir la réponse la mieux adaptée à mes besoins. Pour moi qui n’avais jamais cru en Dieu auparavant, c’est là une merveilleuse révélation.

Cette connaissance de l’Amour divin m’a aidée des années plus tard, alors que j’étais enceinte. Le docteur m’a annoncé que le bébé ne pourrait naître, car le col de l’utérus était ouvert ce qui, à cause du poids du fœtus, entraînerait une fausse couche. Il était donc préférable que j’avorte avant que le bébé ne se développe. Cela m’a fait tellement horreur que j’ai refusé d’accepter un tel diagnostic.

J’ai demandé à une praticienne de la Science Chrétienne de prier pour moi. Elle m’a proposé de lire ce passage de Science et Santé : « Dieu envoie-t-Il la maladie, ne donnant l’enfant à sa mère que pour la courte durée de quelques années et le lui enlevant ensuite par la mort ? » (p. 206) Cela m’a fait réfléchir, car les Ecritures sont absolues à ce sujet ; elles déclarent que l’œuvre de Dieu est achevée, que pour Lui rien n’est nouveau, que Sa création est bonne. Un peu plus loin, sur la même page, l’auteur poursuit : « Peut-il y avoir naissance ou mort pour l’homme, l’image et la ressemblance spirituelles de Dieu ? » Cela m’a rassurée. J’ai copié ce passage, et je le relisais sans arrêt pour m’attacher fermement à cette idée. J’ai compris au plus profond de mon être que Dieu ne me donnerait jamais quelque chose pour me le reprendre ensuite. Tout était bon. J’ai continué de prier, et ma grossesse a été très harmonieuse. Les symptômes annoncés ne sont jamais apparus.

Je me suis également beaucoup appuyée sur le psaume 23, notamment sur ce passage : « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi. » (verset 4)A ce moment-là, je savais déjà que Dieu est l’unique source de l’amour et du bien, et que, comme le révèle Science et Santé, le pouvoir de Dieu est permanent, et que nous ne pouvons être séparés de Lui.

A sa naissance, ma fille était un bébé superbe et tout à fait normal. Elle a aujourd’hui vingt-quatre ans et elle est en parfaite santé.

Je suis heureuse et remercie Dieu du changement merveilleux qu’a connu mon existence à partir du moment où j’ai appris à Le connaître.

Maria Marta Gaudelli, Salta

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