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Un seul Dieu, une seule Vérité, un seul Etre

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 2015

Original en français


J’aimerais vous faire part de ce que mon fils adulte et moi avons vécu il y a plus d’un an. Je ne sais pas quel mot employer, le mot « reconnaissance » est encore trop faible pour la guérison dont mon fils a fait l’objet.

Un jour du mois d’août 2013, j’ai reçu un appel des urgences de l’hôpital disant que mon fils y avait été amené souffrant de terribles douleurs dans le ventre et qu’il était inconscient. J’ai tout de suite senti que je devais rester fidèle à la Vérité divine. Je l’ai remis mentalement dans les bras de son Père-Mère Dieu, sachant qu’II prenait soin de lui. Quand je l’ai vu à l’hôpital, je l’ai trouvé très mal. Le personnel médical a donc entrepris de faire des tests. Mon fils revenait à lui petit à petit.

A deux heures du matin, on est venu me dire que les résultats des examens montraient qu’il avait une importante infection du sang et un cancer du colon. Je me suis tout de suite mise à prier pour savoir que son être n’avait aucune infection, car son être véritable était entièrement spirituel et pur, et qu’il ne pouvait souffrir d’aucune maladie parce que la douceur de l’Amour divin caractérisait sa substance et son être réels. Et je gardais ces pensées dans ma tête. Puis on m’a dit qu’il fallait l’hospitaliser et qu’il devait être sous surveillance constante, mais que pour cette nuit on le garderait aux urgences.

Je suis donc rentrée. Sitôt arrivée chez moi, j’ai ouvert Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, où j’ai trouvé le passage suivant : « L’être est sainteté, harmonie, immortalité. Il est déjà prouvé qu’une connaissance de ce fait, si minime soit-elle, élèvera la norme physique et morale des mortels, augmentera la longévité, purifiera et ennoblira le caractère. Ainsi le progrès détruira finalement toute erreur et mettra l’immortalité en lumière. » (p. 492)

Quelques heures plus tard, j’ai appelé un praticien de la Science Chrétienne que je connaissais bien. J’ai été touchée par son calme, son écoute et sa certitude, et cela m’a donné la force de repartir à l’hôpital. J’ai trouvé mon fils en meilleure forme, plus vivant. Une infirmière est venue nous dire que les résultats de la prise de sang du matin montraient une stabilisation. Nous avons dit « Merci, Père ».

Je savais que notre Père-Mère Dieu ne nous abandonnerait pas et qu’Il était toujours là.

Les heures passaient et plus personne ne s’occupait de nous aux urgences. Nous avons alors décidé de partir. J’ai dû signer une décharge et, après un entretien avec les médecins qui souhaitaient continuer de suivre mon fils, j’ai pu l’emmener chez moi.

J’étais en contact constant avec le praticien et je transmettais à mon fils ce que ce dernier me disait ; nous avons beaucoup prié. Je me répétais constamment cette phrase : « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. » (Marc 11:24) J’affirmais aussi : « N’ayez pas peur ! » (Matthieu 14:27) Je savais que notre Père-Mère Dieu ne nous abandonnerait pas et qu’Il était toujours là.

Une semaine après avoir quitté l’hôpital, une infirmière est venue (envoyée par l’hôpital) pour faire une prise de sang et pour de nouvelles analyses. Le soir on m’a appelée. « Il n’y a plus aucune infection dans le sang et cela nous semble incroyable », m’a dit un médecin. Je l’ai remercié de cette bonne nouvelle et j’ai tout de suite appelé le praticien. Nous avions gagné une bataille, mais il fallait continuer. Il fallait rester fidèle à la Vérité divine, et nous affirmions que ce qui n’est pas de Dieu n’est pas la réalité. Au cours des deux semaines qui ont suivi, mon fils est allé de mieux en mieux au point de pouvoir se lever et sortir.

Au bout de ces deux semaines, l’hôpital a envoyé une convocation pour une coloscopie. Ma première réaction a été de dire non, mais je n’avais pas prié pour savoir ce qui était juste. Il fallait que je sois à l’écoute pour entendre la réponse que le Père me donnerait. Je me suis dit que si mon fils devait subir cet examen, ce serait à la gloire de la Vérité.

Après avoir pris la décision de nous rendre à cet examen, nous étions tous deux très paisibles et certains que notre décision était juste. Nous avions la certitude que seule la Vérité se révélerait. L’examen, qui prend normalement 45 minutes, a duré plus de deux heures. Pendant ce temps j’ai lu et approfondi l’article, « La divine loi d’ajustement » d’Adam Dickey, qui a été publié sous forme de brochure.

Les médecins sont venus me dire que l’examen avait été très long parce qu’ils ne trouvaient rien. Deux semaines plus tard, mon fils rentrait chez lui. Il est toujours en parfaite santé aujourd’hui.

Je dis un immense merci au praticien qui n’a cessé de nous soutenir avec beaucoup d’amour et de patience.

La Vérité est toujours victorieuse.

Martine Fossier, Lausanne


Je confirme le témoignage de ma mère. J’ai maintenant repris le travail à 100 % et j’ai une vie tout à fait normale. J’exprime toute ma gratitude. 

Olivier Simulin, Lausanne

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