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Vaincre la contagion

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 2014

Original en espagnol


Un matin, ma fille cadette s’est réveillée en ayant très mal à la gorge et à une partie du visage. En accompagnant sa sœur aînée à l’école pour expliquer à la maîtresse l’absence de la petite, j’ai appris qu’il y avait une épidémie d’oreillons dans l’établissement. La maîtresse m’a dit que ma fille devrait apporter un certificat médical attestant sa guérison quand elle reviendrait à l’école.

Sur le trajet du retour, je me suis mise à prier. La prière est un moyen de reconnaître l’unité de Dieu et de l’homme, de comprendre la nature de Dieu et ce que nous sommes pour Lui. Dans ma prière, j’ai reconnu la présence et le pouvoir de Dieu qui gouverne la Création entière. Comme Dieu est Tout-en-tout et qu’Il est Esprit, tout ce qu’Il crée est forcément spirituel. Et puisque l’homme est l’enfant de Dieu, nous sommes spirituels, et non pas matériels. Nous ne sommes pas composés d’éléments matériels, mais nous incluons toutes les idées justes, spirituelles et parfaites.

Très vite une question m’est venue à l’esprit : « Cette maladie est-elle une loi de Dieu ? » J’ai répondu par un « non ! » catégorique. Dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy écrit que les enfants sont « les pensées spirituelles et les représentants spirituels de la Vie, de la Vérité et de l’Amour » (p. 582). Je me suis dit que, puisque Dieu est l’Amour même, Il ne créerait jamais une loi pour que les enfants soient malades. Cette vérité m’a rassurée car j’y ai vu la confirmation que la maladie n’est pas une loi de Dieu à l’encontre de Ses enfants.

Quand je suis arrivée à la maison, j’ai pris le temps de parler tranquillement avec ma fille. Elle allait régulièrement à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, où elle apprenait à connaître les lois de Dieu et sa vraie identité en tant qu’idée spirituelle. Je lui ai expliqué qu’elle ne pouvait pas aller à l’école car elle avait les symptômes d’une maladie contagieuse. Nous avons alors affirmé ce que dit Mary Baker Eddy : « La Vérité traite la contagion la plus maligne avec une parfaite assurance. » (Science et Santé, p. 176) Nous étions certaines que la maladie disparaîtrait car Dieu, la Vérité, ne l’avait jamais créée. Ma fille a été réceptive à ces vérités qui l’ont réconfortée.

Lorsque mon autre fille est rentrée de l’école, je lui ai parlé de cette contagion, et elle s’est mise à prier pour sa sœur en cherchant dans les écrits de Mary Baker Eddy des références utiles sur la guérison de la contagion. Elle a trouvé ce passage : « Entraînés par le courant populaire de la pensée mortelle, sans mettre en question la véracité de ses conclusions, nous faisons ce que les autres font, croyons ce que les autres croient et disons ce que les autres disent. L’assentiment général est contagieux et il rend la maladie contagieuse. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 228) Cela lui a permis de comprendre que la contagion ne peut pas être réelle, étant donné que Dieu est bon et qu’Il ne rend aucun de Ses enfants malade.

Nous étions certaines que la maladie disparaîtrait car Dieu, la Vérité, ne l’avait jamais créée.

En moins de quarante-huit heures, ma petite fille s’est sentie bien. Le médecin a confirmé qu’elle était tout à fait guérie et lui a fait le certificat médical obligatoire pour retourner à l’école.

Cette guérison a donné à ma fille cadette une base spirituelle très solide, sur laquelle elle a pu s’appuyer quelques années plus tard lorsqu’une de ses amies a eu la varicelle. Aucune de ses camarades de classe ne voulait lui apporter les devoirs à faire à la maison, car elles avaient trop peur d’attraper la maladie.

Ma fille avait appris que Dieu ne nous punit pas pour avoir fait le bien. On lit dans Science et Santé : « Soyons rassurés par la loi de l’Amour. Dieu ne punit jamais l’homme pour avoir fait le bien, travaillé honnêtement et accompli des œuvres de miséricorde, bien que cela puisse l’exposer à la fatigue, au froid, à la chaleur, à la contagion. » (p. 384) Ma fille est donc allée chez son amie, qui l’a reçue avec joie, toute heureuse qu’on lui apporte ses devoirs. Ainsi elle a pu réussir à tous ses examens. Ma fille, bien entendu, n’est pas tombée malade.

Mettre en pratique les enseignements de la Science Chrétienne dans notre vie nous protège de toutes conditions défavorables. La Science Chrétienne nous enseigne – et nous le démontrons par des guérisons – que Dieu est véritablement Amour.

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