En avril 2011, mon mari est parti huit jours en vacances en Grèce avec son frère. Le premier jour de son séjour, il m’a appelée pour me dire qu’il ne se sentait pas bien du tout et qu’il souffrait d’un problème de gastro-entérite. De nombreuses autres personnes à l’hôtel manifestaient ces mêmes symptômes et son frère aussi avait été touché par ce malaise. Mon mari et son frère ne pratiquant pas la Science Chrétienne, ils ont utilisé des médicaments pour se guérir. Au bout du cinquième jour ils se sont sentis à peu près bien.
À son retour, mon mari m’a brièvement raconté cette mauvaise expérience. Pendant cette même journée, j’ai commencé à ressentir les symptômes de la maladie qu’il m’avait décrite. J’étais impressionnée par la vitesse avec laquelle la contagion semblait se propager, d’abord en Grèce et maintenant en France. Il m’est tout de suite venu à la pensée ce que Mary Baker Eddy explique dans son livre Ecrits Divers : « Entraînés par le courant populaire de la pensée mortelle… nous faisons ce que les autres font, croyons ce que les autres croient et disons ce que les autres disent. L’assentiment général est contagieux et il rend la maladie contagieuse. » (p. 228)
Depuis plus de 13 ans, la prière en Science Chrétienne est mon seul remède pour trouver la guérison lorsque j’ai des problèmes de santé. Je savais donc ce que je devais faire dans cette situation.
J’ai commencé à me donner un traitement métaphysique en Science Chrétienne avec beaucoup de conviction. Je me suis retirée dans un coin tranquille, sans que personne ne se rende compte de ce qui se passait. J’ai immédiatement affirmé ma perfection en tant qu’enfant spirituelle de Dieu.
Les symptômes étaient agressifs et j’étais vraiment mal en point. Une des croyances associées à cette maladie, c’est qu’il faut aller aux toilettes chaque quart d’heure. Mais j’ai compris que cette action physique était erronée et que je n’avais pas à y obéir. En effet, nous ne sommes pas les esclaves, mais les maîtres du corps. Alors, quand la maladie se faisait sentir en me suggérant de faire ceci ou de ressentir cela, je résistais et je n’obéissais pas. Petit à petit, j’ai commencé à gagner du terrain, à avoir la paix, et j’ai enfin obtenu la victoire sur ces symptômes.
Nous ne sommes pas les esclaves, mais les maîtres du corps.
J’ai retrouvé le soir même mon état normal : j’étais complètement guérie. J’ai vraiment senti que c’était l’Esprit immortel, Dieu, qui avait réduit au silence un sens mortel et erroné. Voici quelques idées qui m’ont aidée à obtenir cette guérison : « … le mal n’est ni communicable ni scientifique. » (Science et Santé avec la Clef des Écritures, p.72) Et aussi : « En période de maladie contagieuse, les Scientistes Chrétiens s’efforcent de s’élever dans la conscience du véritable sens de l’omnipotence de la Vie, de la Vérité et de l’Amour, et ce grand fait de la Science Chrétienne, lorsqu’il est réalisé, arrêtera une contagion. » (La Première Église du Christ, Scientiste et Miscellanées, p. 116) Cela a été prouvé et vécu maintes fois dans mon expérience de scientiste chrétienne.
Je suis reconnaissante à Dieu de cette guérison. Je remercie de tout cœur Mary Baker Eddy de nous avoir montré le chemin en Science Chrétienne.
Yerres
