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PORTUGAL

Une blessure au bras guérie

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 2012


La première fois que j'ai prié pour obtenir une guérison physique, c'était il y a environ 34 ans, alors que j'étais enceinte de sept mois. Nous étions en été. J'ai glissé en m'apprêtant à me baigner dans une piscine. Pour éviter de tomber à plat sur le ventre et de risquer de blesser le bébé, j'ai eu le réflexe de m'appuyer sur le bras. J'ai entendu le bruit d'un craquement et j'ai ressenti une vive douleur. Le lendemain, mon bras a commencé à enfler et je ne pouvais plus le bouger.

À cette époque, j'étudiais la Science Chrétienne depuis six mois en lisant l'édition portugaise du Héraut de la Science Chrétienne. J'ai alors acheté Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. Comme je ne connaissais aucun praticien de la Science Chrétienne ni aucun autre scientiste chrétien au Portugal, je me suis mise à lire ce livre.

« J'ai compris que, si la guérison était complète, il ne pouvait y avoir aucune séquelle. »

À cause de la douleur, j'ai décidé de rester à la maison afin de prier au calme. Je me suis appuyée sur « l'exposé scientifique de l'être » qui commence ainsi: « Il n'y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. » (Science et Santé, p. 468) Au lieu de me contenter de lire ce passage indéfiniment, je voulais sincèrement en comprendre et en ressentir chaque mot. J'ai compris que lorsque Mary Baker Eddy écrit qu'« il n'y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière », elle affirme en fait qu'il n'y a ni réalité ni vie dans la matière. Par conséquent, la douleur ne pouvait pas faire partie de ma vie. Je me suis attachée à cette vérité.

Je me suis également tournée vers l'Hymnaire de la Science Chrétienne, que L'Église Mère, à Boston, m'avait envoyé. Sans avoir jamais entendu ces cantiques auparavant (je n'avais pas encore assisté à un service religieux de la Science Chrétienne), je les ai lus et relus sans cesse, et leurs paroles m'ont semblé très puissantes.

Cette phrase tirée de la préface de l'Hymnaire a attiré mon attention: « Le message d'amour et de vérité exprimé dans les cantiques de l'Hymnaire de la Science Chrétienne a aidé et réconforté beaucoup de gens et continuera à le faire d'une manière croissante. À travers l'Hymnaire tout entier, avec ses chants de louange et de gratitude envers Dieu, on trouve le fil de cette pensée contenue dans la “Prière quotidienne” des Scientistes Chrétiens: “Et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l'humanité...” (Manuel de l'Église de Mary Baker Eddy, p. 41) » (Hymnaire de la Science Chrétienne, p. v) Je me suis sentie profondément unie à la communauté mondiale des scientistes chrétiens, qui étudient la Science Chrétienne et la Bible, et prient pour l'humanité. À ce moment-là, j'ai eu le sentiment que la Parole de Dieu et les prières de tous les scientistes chrétiens pourraient m'aider, même si personne ne priait de manière spécifique pour mon problème.

« À ce moment-là, j'ai eu le sentiment que la Parole de Dieu et les prières de tous les scientistes chrétiens pourraient m'aider, même si personne ne priait de manière spécifique pour mon problème. »

Le lendemain matin, un lundi, je n'avais plus du tout mal. Je me suis rendue au travail, mais je ne pouvais toujours pas bouger le bras. Comme il demeurait plié à angle droit contre mon ventre, les gens y voyaient un geste de grande tendresse envers mon bébé. Ni ma famille ni mes collègues ne se sont rendu compte que j'étais incapable de remuer le bras.

J'ai commandé à L'Église Mère les Leçons bibliques hebdomadaires et je me suis mise à les étudier chaque jour. J'ai continué de prier en m'inspirant de l'exposé scientifique de l'être. Cependant, après deux mois sans pouvoir bouger le bras, je me suis demandé comment je ferais, après mon accouchement, pour baigner le bébé, changer ses couches et le tenir dans mes bras. Comment allais-je accomplir toutes ces tâches avec un bras immobile? Il me fallait une guérison complète. Ne plus souffrir n'était pas suffisant, je devais pouvoir remuer le bras normalement.

J'ai prié sans cesse jusqu'à la naissance du bébé. Au moment où la sagefemme m'a tendu l'enfant, j'ai aussitôt levé les deux bras pour le prendre. C'est à ce moment-là que j'ai su que la guérison était complète. C'était si naturel de tenir ma fille dans mes bras!

Je n'ai consulté aucun médecin ni passé aucune radio, mais je sais que j'ai eu tous les symptômes d'une fracture au bras.

Au Portugal, les gens pensent que lorsqu'on se fracture un os, on ressent des douleurs à chaque changement de climat. C'est ce que j'ai constaté pendant quelque temps, jusqu'à ce que je comprenne que, si la guérison était complète, il ne pouvait y avoir aucune séquelle.

Ce passage de Science et Santé m'a aidée dans mes prières: « Par consentement universel, la croyance mortelle s'est érigée en loi pour lier les mortels à la maladie, au péché et à la mort. Cette croyance générale est nommée à tort loi matérielle, et celui qui la soutient se trompe en théorie et en pratique. La prétendue loi de l'entendement mortel, conjecturale et spéculative, est annulée par la loi de l'Entendement immortel... » (p. 229) Cela m'a permis de comprendre que ma relation à Dieu n'est jamais troublée par la moindre suggestion individuelle ou collective. Les douleurs intermittentes ont disparu d'elles-mêmes. Je n'ai plus mal au bras depuis des années et je peux faire n'importe quel mouvement. La guérison est complète et définitive!


Original en portugais

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