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Je désirerais raconter au moins une partie de ce que la Science Chrétienne...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1924


Je désirerais raconter au moins une partie de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi, car lorsque je la trouvai j'étais une loque humaine, et elle a fait de moi une citoyenne utile. Il y a treize ans, je m'y adressai pour recevoir de l'aide, après avoir été maladive pendant dix ans et avoir gardé le lit la plus grande partie de ce temps. Durant ces dix ans j'avais subi sept opérations chirurgicales dont l'une était considérée comme extrêmement grave. Toute aide humaine avait échoué.

Lorsque le dernier spécialiste qui me traitait dit que je ne pourrais jamais me rétablir, je sentis qu'il ne me restait même aucun espoir. Une nouvelle crise violente de maux d'estomac suivit immédiatement. Une amie, voyant mon besoin, m'avait parlé de la Science Chrétienne, mais je me moquai simplement de l'idée que cela pourrait m'aider. Cependant, quand la mort semblait très près et que j'étais plongée dans le désespoir le plus sombre, je me souvins de son offre et lui fis dire qu'elle pouvait m'envoyer un praticien. Elle en parla immédiatement à quelqu'un; mais au lieu de venir, le praticien fit prier mon mari de se rendre auprès de lui. Mon mari revint disant que le praticien prierait pour moi cette nuit, et que je devais aller à son bureau le lendemain matin. Je croyais qu'ils avaient tous deux perdu la raison de penser que cela me serait possible, alors que j'étais sur mon lit de mort; mais je me retournai et m'endormis. C'était la première nuit de sommeil que j'avais eue depuis un an.

Le lendemain matin je pus me lever et avec l'aide de quelqu'un je montai en tramway pour me rendre au bureau du praticien dans le bas de la ville. J'étais soulagée d'un grand fardeau et il me semblait que j'étais au ciel. Mon mari m'acheta "Science et Santé avec la Clef des Écritures," par Mary Baker Eddy, et je le lus jour et nuit jusqu'à ce que je l'eusse fini, car j'avais soif de la Vérité. Après en avoir fait la lecture pendant quelques jours, nous jetâmes tous les médicaments et les lotions, et je ne me suis plus jamais servie d'aucun remède depuis lors. Quelques semaines plus tard je grimpai une après-midi sur la "Lookout Mountain," et le soir même j'allai à une réception. Avant cela, je n'avais pu marcher plus d'une minute sans ressentir de fortes douleurs et une grande faiblesse.

J'aimerais relater la guérison d'une névrite et du rhumatisme dont je souffrais au bras droit. J'avais le coude plié et raide, et les doigts serrés dans la paume. J'avais été dans cet état depuis trois jours et trois nuits. La douleur était si intense que je ne pouvais me coucher et que je restais assise tout abrutie. J'avais téléphoné pour demander le secours de la Science, de sorte que je savais qu'il viendrait. Pendant que j'étais assise dans cet état, mon bras fut tout à coup complètement guéri, et il l'a été depuis lors.

Lorsque j'étais dans la partie ouest des États-Unis appelée "Middle West," je tombai si sérieusement malade que mon mari fit venir un médecin. Celui-ci arriva et prit un air très grave, mais ne prescrivit pas de remède. Au bout de quelques heures il revint, et dit: "Nous allons vous emmener à l'hôpital mercredi, et vous faire subir une opération jeudi." "Oh, bien!" répondis-je, "il semble que je sois entre les mains de deux hommes grands et forts et que je sois incapable de porter ma main à la tête, mais vous ne pouvez rien faire, car je suis entre les mains de Dieu." Il me regarda d'un air de pitié bienveillante et quitta la chambre. Alors je m'écriai, "O Dieu, aide-moi; " et au même moment je pardonnai à quelqu'un à qui il m'avait semblé impossible de pardonner. Comme je faisais cela, la voix de la Vérité se fit entendre, claire et forte, à ma pensée dans l'attente: " 'La parole de Dieu est vivante et efficace, plus pénétrante qu'aucune épée à deux tranchants'— ou qu'un instrument de chirurgie." "Mais oui, c'est vrai," me dis-je; et je sus que c'était la voix de la Vérité que j'avais entendue. Je fus guérie instantanément, et regagnai mes forces par bonds et par sauts. Je m'habillai et descendis au bout de peu de temps.

Ceci eut lieu le lundi. Le mercredi suivant la bonne vint m'annoncer que le médecin était là et voulait me voir. J'avais été si complètement guérie et j'étais si remplie de joie que je n'avais même pas pensé au médecin. Tout heureuse et bien portante, je descendis rapidement les escaliers pour le voir. "Mais," demanda-t-il, "qu'est-ce qui a fait cela?" "C'est la Science Chrétienne," lui dis-je. "Mais, c'est merveilleux," s'écria-t-il, "et moi j'étais venu pour vous emmener à l'hôpital!" Après avoir causé un peu il partit en disant: "Mais il y aura certainement une rechute." En effet, quelques jours plus tard le mal essaya de reparaître, mais je me tins fermement à cette affirmation: "Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie" (Science et Santé, p. 468), et ceci marqua la fin de la maladie. Il y a de cela à peu près onze ans.

Je suis très reconnaissante d'avoir eu l'aide affectueuse de fidèles Scientistes Chrétiens; d'avoir les périodiques de la Science Chrétienne et tous les écrits de Mrs. Eddy; reconnaissante envers elle de ce qu'elle nous ait montré le Christ, le Sauveur du monde.

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