Durant environ trente ans j'avais été sujette à l'asthme; tout d'abord les symptômes n'étaient pas sérieux mais ils s'aggravèrent avec le temps au point que je ne savais plus que faire. Malgré une quantité formidable de médicaments et d'inhalations mon état allait de mal en pis. C'est à peine si je pouvais me coucher, et à chaque crise du mal il fallait me lever de suite pour obtenir un soulagement qui ne durait guère. En outre, j'étais sujette aux coups de froid à tel point que je craignais d'ouvrir la porte.
Puis, inopinément, le secours divin fut mis à ma portée. Une de mes nièces ayant eu connaissance de mon état m'envoya plusieurs numéros du Herold der Christian Science, déclarant que j'y trouverais de l'aide. Je les lus tous d'un bout à l'autre sans toutefois comprendre de quoi il s'agissait; pourtant les témoignages ranimèrent mon courage. Je consultai mon mari au sujet de cet enseignement; il consentit à ce que j'en fisse l'essai et me conduisit chez une praticienne qui, avec beaucoup de bienveillance, m'expliqua la Christian Science et me donna le traitement. Au bout de quatre semaines il me fut possible de marcher pendant deux heures, ce que je n'avais pas fait depuis bien longtemps. Mes progrès furent lents, car la crainte s'empara de moi à maintes reprises, mais lorsque je me remis entièrement à l'omnipotence de l'Amour divin, mon rétablissement fut immédiat. Aujourd'hui je puis travailler au grand air malgré les vents de l'est et du sud, chose impossible autrefois. Des crampes d'estomac ont été surmontées instantanément par ma propre compréhension. Je rends grâces à Dieu et remercie tous ceux qui m'ont aidée à obtenir ces bienfaits.
Hirzel, Zurich, Suisse.
Je suis heureuse de confirmer le témoignage de ma belle-mère, car sa guérison éveilla en moi le désir de connaître les enseignements de la Christian Science. Voici quelques années, alors que j'attendais un bébé, j'écrivis à la praticienne qui avait traité ma belle-mère et lui demandai son aide. Lorsque l'heure de la délivrance fut proche nous lui téléphonâmes, et deux heures plus tard un petit garçon naquit, sa naissance s'étant faite sans douleur bien que je ne connusse que fort peu cet enseignement. Ce fut une grande joie pour nous et nous nous écriâmes: "Louez l'Éternel! Célébrez l'Éternel, car il est bon, car sa miséricorde dure à toujours!" Dès ce jour-là je m'en remis entièrement à la Christian Science.
Ma propre compréhension m'a guérie presque instantanément du rhumatisme et d'une affection de la gorge ainsi que de la crainte d'une rechute chaque hiver. Je demandai le traitement pour une éruption de la peau, éruption qui me couvrait le corps. Lentement le mal disparut de mon visage, la guérison n'étant retardée que par la crainte de ce que les autres voyaient. Néanmoins, avec le secours d'une praticienne, je finis par comprendre que l'enfant de Dieu n'exprime que la pureté et la beauté et il ne tint qu'à moi de voir ma guérison se réaliser. Quand mon mari fut atteint de la grippe il se rétablit parfaitement en quatre jours.
J'ai également appris à entretenir des sentiments plus charitables vis-à-vis de mon prochain et à garder ma pensée contre la colère. La lecture de l'interprétation du vingt-troisième psaume dans notre livre de texte, "Science et Santé avec la Clef des Écritures," de Mrs. Eddy, m'a été fort utile, m'ayant fait voir que si nous ne manifestons que de l'amour nous recevons celui-ci en retour. Nous sommes fort reconnaissants d'avoir trouvé la vérité dans la Christian Science et d'avoir eu la preuve qu'elle est pratique en tout temps et en toute circonstance, aussi bien pour les animaux que pour le genre humain. Nous avons prouvé que "la dernière extrémité de l'homme est l'opportunité de Dieu." Ma reconnaissance est profonde envers Dieu et envers Mrs. Eddy dont les enseignements nous L'ont fait connaître.
