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La Science Chrétienne a pénétré dans notre maison, il y a vingt et un...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1925


La Science Chrétienne a pénétré dans notre maison, il y a vingt et un ans, par la guérison de ma mère, que les meilleurs médecins de cette époque-là condamnèrent à mourir de la fièvre typhoïde. Ceux-ci avaient déclaré que ma mère n'avait plus que quelques heures à vivre, lorsqu'un cher ami vint à notre foyer et suggéra que nous essayions du traitement de la Science Chrétienne. On fit donc venir un praticien de cette Science, et au bout de très peu de temps ma mère fut à même de se lever et de circuler dans la maison; et au bout d'une semaine, elle s'occupait de son ménage.

J'ai toujours aimé la Science Chrétienne. Je l'ai si souvent et si longtemps vue démontrée avec succès qu'il n'y a aucune raison pour que je ne l'aime pas. Lorsque j'avais dix ans, je souffrais de ce qu'on appelle la phtisie ainsi qu'on me le dit plus tard. Une nuit que je me sentais très mal, ma mère me donna le traitement de la Science Chrétienne; et depuis ce moment-là la maladie ne m'a plus incommodé.

Lorsque j'étais d'âge à aider à gagner de quoi vivre, je passai environ onze ans à travailler dans un milieu de non-Scientistes. Vers la fin de cette époque j'étais devenu très matériel, si bien que je consommais du tabac sous toutes ses formes. Je jouais pour de l'argent, je jurais, et je faisais beaucoup d'autres choses contraires à la loi de Dieu. Toutes ces mauvaises habitudes ne me quittèrent que grâce à l'étude sérieuse de la Bible ainsi que de “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy.

L'une des nombreuses démonstrations que je réussis à faire en appliquant ce que je connaissais de la Science Chrétienne s'effectua pendant la dernière guerre, lorsque j'étais dans la Marine des États-Unis. Je fréquentais régulièrement les services cultuels de la Science Chrétienne qui se faisaient au camp, et ce fut à l'un de ces services qu'on me donna la Bible, Science et Santé et le Livret Trimestriel de Christian Science. Lorsque j'étais malade de l'influenza, comme le furent beaucoup de mes camarades à bord, mon régiment fut mis en quarantaine. On n'avait la permission de tenir aucunes réunions dans le camp, aussi me fut-il impossible de me mettre en contact avec un praticien de la Science Chrétienne. L'extrémité où je me trouvais fut l'opportunité de Dieu. Je semblais souffrir et être trop affaibli pour faire les exercices ou pour accomplir le travail physique qui me tombait en partage; je résolus donc de me faire exempter du service et de passer mes loisirs à lire les Écritures. Le médecin m'accorda ma demande et m'ordonna d'aller dans les baraques rejoindre quelques-uns des malades. J'emballai mes affaires, et bientôt j'entendis les gémissements de mes camarades du vaisseau. Sans aucun retard je fis volte-face, je déchirai la permission écrite et m'en retournai auprès de ma compagnie. Je déclarais sans cesse ma compréhension de la vérité, et à la première occasion, je me cachais et lisais Science et Santé. A toutes heures du jour et de la nuit, j'étais de garde, exposé à la pluie battante, mais je ne cédai pas au sentiment de crainte. Pendant huit jours je ne pus rien manger et ne bus que très peu. Je ne cesserai jamais de rendre grâces à Dieu pour la bénédiction glorieuse qui me vint le neuvième jour, lorsque les nuages ténébreux se dissipèrent et que je jouis de nouveau de l'héritage que Dieu a donné à tous Ses enfants dès le commencement.

Au mois de mars 1922, lorsque je remplissais mes fonctions dans un wagon-postal de chemin de fer, quelque chose sembla se rompre au côté gauche de ma poitrine. Il me semblait que j'allais perdre connaissance. Je pris Science et Santé que je portais toujours sur moi, et le lus. Lorsque je dis à mon camarade que je ne pouvais travailler, il me répondit: “Vous ne pouvez être malade si vous pouvez lire.” Je me sentais trop faible pour achever le voyage; aussi je résolus de m'adresser à un praticien de la Science Chrétienne dès que le train arriverait à une bifurcation. C'est ce que je fis; et après avoir reçu un traitement, je me sentis plus fort. Je m'en retournai à pied à la gare, qui est à une distance de douze minutes environ, me sentant tout joyeux. Quoique la guérison complète de cet état anormal se fît lentement, ce fut pour moi un bien; car je me prouvai une fois de plus que Dieu est notre unique médecin. Quel que soit l'état discordant, si la vérité est correctement appliquée, elle effectue la guérison.

Je puis vraiment dire que j'ai été guéri d'une maladie de cœur, de l'indigestion, de la constipation, d'une bronchite, de la fièvre des foins, d'entorses, de fractures des os, de graves brûlures, de furoncles et de plaies occasionnées par des rhumes sans aucun autre traitement que celui de la Science Chrétienne. Tout ce que je suis et tout ce que j'ai, je le dois à la Science Chrétienne. J'ai prouvé dans une grande mesure qu' “il n'y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière,” comme Mrs. Eddy le dit à la page 468 de Science et Santé.

Les mots ne sauraient exprimer ma gratitude envers Dieu de ce qu'Il nous ait envoyé Christ Jésus, le Guide, et notre Leader bien-aimée, Mary Baker Eddy, qui nous montra comment il faut appliquer et employer cette vérité toujours présente, telle qu'elle est enseignée dans la Bible et Science et Santé. Je suis reconnaissant d'être membre de L'Eglise Mère à Boston, Massachusetts. Je suis reconnaissant aussi envers les praticiens affectueux et patients qui m'aidèrent avec tant de bienveillance à l'heure qui semblait la plus sombre; reconnaissant de ce que nous ayons des Salles de Lecture de la Science Chrétienne,—car, à mon avis, elles représentent le ciel sur terre; reconnaissant enfin de toutes nos publications de la Science Chrétienne.

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