Les témoignages qu'on trouve dans les périodiques de la Science Chrétienne ont été pour moi au cours des années une source d'inspiration, une aide efficace. En relatant ici quelques-unes de mes guérisons et de mes expériences, j'espère inspirer du courage à ceux qui cherchent la Vérité.
A l'époque où j'étais menacé d'un effondrement nerveux, un ami qui m'est cher me parla de la Science Chrétienne. Il me conseilla d'avoir immédiatement recours à une praticienne. Quoique je fusse sceptique, ma détresse était si grande que je voulus mettre à l'épreuve l'efficacité curative de cette religion. Lorsque j'entrai dans le bureau de la praticienne, j'étais très malade. J'en sortis complètement libéré de mes maux. Cette guérison me prouva que la Science Chrétienne est vraiment la religion de la Vérité, du Christ guérisseur.
Toutefois je n'acceptai pas immédiatement et sans réserve la Science Chrétienne. Peu de temps après un autre problème se présenta, car je fus atteint de prostatite. Je me fis examiner par un médecin dont la réputation était excellente et qui me recommanda une opération chirurgicale. Plutôt que de me soumettre à cela, je me tournai de tout mon cœur vers la Science Chrétienne. De nouveau la guérison s'accomplit en un seul traitement. Dès lors j'acceptai la Science Chrétienne et je l'étudiai avec zèle, me joignant à L'Église Mère ainsi qu'à une église filiale, au travail de laquelle j'ai pu prendre part comme membre du conseil ou de certains comités.
Plus tard j'eus des troubles cardiaques. Pour obtenir un congé je dus subir un examen; le docteur diagnostiqua une thrombose coronaire et une angine de poitrine. Sur ma demande je fus traité en Science Chrétienne et quelques semaines plus tard il ne restait plus aucune trace de ce mal.
Un matin j'eus tout à coup une attaque de paralysie faciale, ce que mon entourage remarqua immédiatement. Les membres de la famille qui ne s'intéressaient pas à la Science Chrétienne s'en alarmèrent beaucoup. Je venais d'être nommé directeur de l'École du dimanche et je me demandais si, étant donné mon état, il fallait accepter ces fonctions. Mais on me recommanda de le faire avec la ferme assurance d'une guérison, et j'obéis. En une semaine la paralysie fut vaincue et le dimanche suivant j'étais à mon poste comme directeur de l'École du dimanche.
Les paroles n'expriment qu'imparfaitement ma gratitude pour toutes ces guérisons ainsi que pour la liberté morale et spirituelle due à la mise en pratique et à l'étude de la Science Chrétienne. Envers Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de cette Science, j'éprouve une gratitude sans bornes.— Boyne City (Michigan), États-Unis.
