Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Il y a quelque huit ans, alors que le succès...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1956


Il y a quelque huit ans, alors que le succès dans les affaires semblait me promettre un bel avenir, j'eus tout à coup une maladie de cœur; d'après le diagnostic médical c'était une grave thrombose coronaire. Je passai soixante-dix jours à l'hôpital, puis les docteurs me renvoyèrent à la maison sans me donner le moindre espoir. Soumis à un régime sévère, condamné à l'oisiveté complète, j'avais devant moi des perspectives extrêmement sombres.

Quelques jours après ma sortie de l'hôpital, on me parla de la Science Chrétienne. Quoique tout à fait ignorant de ce qu'elle enseignait, je l'acceptai avec joie surtout parce que c'était mon seul espoir. En lisant quelques pages de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, je sentis renaître mon courage. Voilà donc une doctrine affirmant qu'il y a de l'espoir, malgré ce que disent les sens physiques ou la médecine! Poursuivant ma lecture, je trouvai non seulement une espérance mais une promesse claire et catégorique — l'assurance que Dieu donne aux humains la santé, la force, la paix, la joie, tous les biens en abondance. Je me rendis compte que dans ce pacte, notre obligation consiste à aimer Dieu et à garder Ses commandements. Comme je m'en aperçus, cette doctrine était celle qu'avait enseignée et pratiquée Jésus le Christ, le Métaphysicien par excellence, qui en prouva l'efficacité par la guérison des malades. Réalisant que j'avais trouvé la perle de grand prix, j'eus recours à une praticienne et je cherchai sérieusement à comprendre la nature de Dieu.

Pour obéir au règlement, il me fallut de temps en temps retourner à l'hôpital et m'y faire examiner. Il y eut tout de suite des progrès encourageants. J'étudiais la Science depuis un mois lorsque le docteur me dit que mon cœur allait décidément mieux. Un mois plus tard l'amélioration était si marquée que l'on me permit d'accepter un poste peu astreignant; on me dit en outre qu'il n'était plus nécessaire de revenir à l'hôpital, à moins que je ne le désire.

Au bout de trois mois environ j'allais tellement mieux que de plein gré je me rendis à l'hôpital où les résultats de l'examen furent extraordinaires. On m'avisa que j'étais complètement guéri, chose « tout à fait exceptionnelle » et que « la science médicale ne connaît rien de semblable. » Il y a de cela plus de sept ans, et depuis lors je n'ai jamais été empêché de me rendre au bureau. Au bout d'une année, la compagnie m'engagea de nouveau d'une manière permanente, me paya davantage et m'offrit un poste où les possibilités sont sans limites et le travail intéressant.

Comme maints autres officiers de réserve, je dus passer à la visite pour voir si je pouvais faire du service, et les médecins dirent que j'y étais apte. En outre je sortis vainqueur d'un tournoi de golf organisé par la compagnie, alors que vingt-cinq ans plus tôt le résultat avait été moins bon. Ces faits ont complètement chassé la notion de faiblesse physique; ils prouvent que toute prétention niant la plénitude de Dieu doit finir par rentrer dans son néant primitif.

Notre Leader, Mrs. Eddy, nous a révélé la grande vérité de l'être et je lui en suis reconnaissant. Le cours d'instruction que j'ai pu suivre, le travail auquel je prends part dans une église filiale, sont aussi des sujets de gratitude.—

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / janvier 1956

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.