Grâce à l'étude et à la mise en pratique de la Science Chrétienne, je vois chaque jour se développer le bien et j'en suis très reconnaissante.
C'est une conversation entre deux voisines dont l'une était Scientiste Chrétienne qui éveilla mon intérêt. J'entendis cette Scientiste raconter la guérison d'une parente, tuberculeuse au dernier degré; j'eus alors un irrésistible désir de mieux connaître cette belle religion qui guérit à l'instar de Jésus. Par la suite on me parla du livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé, par Mrs. Eddy; je me le procurai immédiatement et en commençai l'étude. Je ne me séparais guère de ce livre; il était près de moi quand je faisais le ménage et je le lisais jusque tard dans la nuit. Je méditais chacune de ses déclarations. Un monde merveilleux et nouveau m'était révélé. J'étais si heureuse d'apprendre que Dieu est Amour et n'envoie pas à Ses enfants les afflictions!
J'étais soignée par un médecin qui me conseillait une opération. En outre j'étais tourmentée parce que notre fillette qui à douze mois avait souffert de paralysie infantile, n'était pas remise. Nous l'avions fait longtemps traiter par des spécialistes — un neurologue, un orthopédiste — qui nous dirent que tout était inutile et qu'elle ne marcherait probablement jamais. Nous nous adressâmes alors à une praticienne qui entreprit le traitement avec beaucoup d'amour. Presque tout de suite les choses allèrent mieux. La fillette se développa et put bientôt se passer du lourd appareil qu'elle avait porté jusqu'alors. Elle fit ensuite ses premiers pas et ne tarda guère à mener une vie normale, faisant du patinage à roulettes, de la natation et de la danse.
Elle avait subi une opération à l'oreille pour remédier à une mastoïdite. Nous nous intéressions depuis peu à la Science Chrétienne lorsque ce mal reparut et je demandai tout de suite de l'aide en Science. Avec quel amour la praticienne calma mes craintes en disant: « Le fer des chirurgiens n'a jamais touché l'enfant de Dieu! » Pendant la nuit l'abcès perça et le lendemain la fillette jouait comme d'habitude. Un seul traitement avait suffi pour produire une guérison permanente.
Quant à moi je renvoyai le médecin, et depuis plus de vingt-sept ans je jouis d'une excellente santé. Les progrès de notre fille absorbaient toute mon attention de sorte que j'oubliai mon mal, et lorsque j'y pensai de nouveau il avait disparu.
D'autres membres de notre famille ont éprouvé les bons effets de cette vérité curative. Mon mari souffrait de migraines; il fut guéri par la Science alors que les docteurs n'arrivaient pas à le soulager. D'autres maux ont été guéris, en particulier ceux qu'on nomme les maladies infantiles. Dans certains cas la délivrance fut presque instantanée; en d'autres occasions il fallut étudier avec une consécration, un zèle plus grands. Mais chaque épreuve était un nouveau pas sur la route qui mène des sens à l'Ame; en résolvant ces divers problèmes nous nous rapprochions de l'Esprit. La mise en pratique de la vérité nous protégeait, et nous n'avons manqué de rien même à l'époque où le travail faisait défaut. On eût dit que les corbeaux nous apportaient la nourriture, car d'une manière miraculeuse il était pourvu à tous nos besoins.
Les praticiens dévoués sont toujours prêts à nous venir en aide, ce dont je rends grâces à Dieu.— Oklahoma-City (Oklahoma), États-Unis.
Ne crains point, car je suis avec toi; ne t'effraie pas, car je suis ton Dieu! Je t'affermis et j'arrive à ton aide. — Ésaïe 41:10.
