« Pour ceux qui s'appuient sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits. » Ainsi s'exprime notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, dans la Préface de Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. vii). Quand j'entendis parler de la Science Chrétienne, ce fut vraiment pour moi un jour « gros de bienfaits. » Lorsque j'étais dans la détresse une voisine me prêta Science et Santé. Je souffrais de divers maux — hypertension, angine de poitrine, calculs biliaires, et cœtera.
Avant même d'avoir fini le chapitre intitulé La Prière, je m'étais rendu compte que cette religion-là était celle que j'avais toujours cherchée. Pleine d'enthousiasme, j'assistai à quelques réunions de témoignages le mercredi soir et à un culte du dimanche matin, afin de mieux connaître cette religion. Quand j'eus achevé la lecture du livre je me rendis compte que l'hypertension et l'angine avaient été guéries. Je pouvais faire des kilomètres à pied et accomplir des travaux qui m'auraient été impossibles précédemment.
Avec l'aide d'une praticienne consacrée, les calculs biliaires furent guéris en un seul traitement. Cela me parut remarquable car lors des attaques précédentes qui duraient généralement d'une à trois semaines, j'avais eu des injections de morphine pour soulager la douleur. Toutes ces guérisons se sont avérées permanentes.
J'étais si reconnaissante de ces guérisons que j'achetai une Bible, ainsi qu'un exemplaire de Science et Santé et le Manuel de L'Église Mère, par Mrs. Eddy. Je me mis à étudier ces livres; chaque matin je lisais attentivement la Leçon-Sermon qu'indique le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, et j'allai régulièrement à l'église pour apprendre tout ce que je pouvais concernant la loi de Dieu telle que nous l'a présentée Mrs. Eddy.
Comme « l'exposé scientifique de l'être » (Science et Santé, p. 468) est lu à l'église chaque dimanche, j'en conclus qu'il doit être important. J'en méditai toutes les affirmations et les négations. Graduellement je me pénétrai de ses vérités au point de voir que l'homme est la réflexion parfaite de Dieu, que tout ce qui existe en réalité c'est Dieu parfait et l'homme parfait.
Un jour l'échelle pliante sur laquelle j'étais montée se brisa; dans ma chute, mon dos vint donner contre une charnière en métal, et la douleur fut intense. Je redis « l'exposé scientifique de l'être, » et comme je le méditais, la douleur cessa; mais j'étais à terre et ne pouvais me relever. Je me souvins alors que la Leçon-Sermon de cette semaine-là contenait ce passage de la Bible (Deut. 33:27): « Le Dieu de tous les siècles est ton sûr asile; ses bras éternels te soutiennent. » J'appelai tout haut notre Père-Mère Dieu, Le priant de me montrer le chemin. Bientôt je me trouvai debout, quoique un peu tremblante. Après m'être couchée ce soir-là, j'eus une bonne nuit et m'éveillai au matin parfaitement guérie.
Je suis humblement reconnaissante des bienfaits et des bénédictions que ma famille et moi-même avons reçus par la Science Chrétienne, et de tout ce que le monde doit à cette Science. Les périodiques et les conférences sont aussi des sujets de gratitude. Surtout je suis reconnaissante envers Dieu, le Dispensateur de tous les biens. — Miami Beach (Floride), États-Unis.
