De tout mon cœur je rends grâce à Dieu qui, voici bien des années, m'a conduite à la Science Chrétienne. Je ne cherchais pas la guérison d'une maladie, mais je désirais connaître Dieu et savoir pourquoi le vrai bonheur ne pourrait s'atteindre qu'après la mort — comme je le croyais à cette époque.
Quand je me mis à lire et à étudier les ouvrages de notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, je me rendis compte que Dieu est Vie, et mes questions trouvèrent une réponse.
La Science Chrétienne me fut d'un grand secours pendant la deuxième Guerre mondiale, lorsque mon mari et moi-même étions dans la détresse. Au décès de mon mari en 1947, cette Science fut vraiment pour moi le Consolateur qui répondait à tous mes besoins. Ma gratitude s'adresse aux praticiens qui m'ont toujours aidée avec dévouement.
Une forte crise de rhumatisme se guérit en quatre jours grâce au traitement de la Science Chrétienne. L'asthme, les rhumes, la grippe, une entorse furent vaincus par ma propre compréhension. Je suis heureuse de savoir qu'il est très important de veiller sur nos pensées afin de détruire les tentations au mal avant qu'elles puissent entrer dans la conscience humaine.
Le cours donné par un professeur riche en consécration me fit progresser spirituellement, ce que j'apprécie beaucoup. A cette époque-là, une meilleure compréhension de la vérité me permit d'abandonner l'usage des lunettes. Je suis aussi reconnaissante d'être membre d'une église filiale et de L'Église Mère, qui a tant fait pour nous soutenir pendant et après la deuxième Guerre mondiale. Les périodiques, les conférences, les réunions annuelles de notre association aident à me guider vers « une demeure éternelle qui n'est pas faite de main d'homme » (II Cor. 5:1). — La Haye, Pays-Bas.
