« Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits! » (Ps. 103:2.) Ils sont nombreux les bienfaits que ma famille et moi- même avons reçus grâce à l'application de la Science Chrétienne. Quand celle-ci me fut présentée il y a plus de dix-sept ans, je cherchais une religion qui réponde à mes aspirations et j'acceptai rapidement ces merveilleux enseignements.
Malgré bien des épreuves j'ai pu faire des progrès spirituels; les démonstrations se succédaient et chacune des difficultés résolues par le divin Principe me fortifiait. Ce qui me rendait très heureuse, c'est que mes expériences apportaient à mon mari la certitude toujours grandissante du pouvoir guérisseur et rédempteur de la Science Chrétienne.
Depuis plusieurs années, et surtout depuis la deuxième Guerre mondiale où mon mari put recourir à la protection divine, sa compréhension s'est accrue; il est maintenant actif en Science Chrétienne, m'aidant et me soutenant dans les luttes auxquelles nous devons faire face. Nous sommes particulièrement heureux d'être membres d'une église filiale. Ce privilège nous a procuré des bénédictions sans nombre, entre autres une compréhension spirituelle plus développée, un amour sincère pour l'humanité; de plus, une amélioration sensible fut constatée dans notre situation pécuniaire.
Les guérisons obtenues depuis que j'étudie la Science Chrétienne sont nombreuses. Une constipation chronique datant de ma jeunesse fut vaincue en quinze jours simplement par la lecture du Héraut de la Science Chrétienne; un coryza chronique disparut; poumons voilés, début de tuberculose, bronchites et grippes qui chaque hiver me clouaient au lit pendant de longues semaines; maux de gorge, brûlures, entorse douloureuse, bégaiement qui durait depuis mon enfance et me rendait très timide — toutes ces choses furent guéries. Au sujet du bégaiement, une praticienne me fit un jour comprendre l'étendue de la mission que Dieu avait confiée à Moïse. Quand celui-ci, doutant de ses capacités, dit qu'il n'avait pas la parole facile, Dieu lui répondit (Ex. 4:11, 12): «Qui a fait la bouche de l'homme?... Maintenant donc, va: je serai avec toi quand tu parleras et je t'enseignerai ce que tu devras dire. » Cette déclaration m'aida beaucoup, de sorte que je puis parler très facilement, et me lever sans crainte pour donner un témoignage à la réunion du mercredi soir. C'est pour moi un sujet de gratitude.
Mon mari n'a jamais dû cesser son travail pour cause de maladie. Par la Science Chrétienne il a été guéri de la grippe, de bronchites et de maux d'estomac. Au cours d'une lutte avec un jeune ami il eut une côte fêlée, mais put se remettre sans aucun repos ou traitement matériel.
Nos deux enfants jouissent d'une santé parfaite; quand les inharmonies semblaient vouloir s'emparer d'eux, rapidement nous rétablissions l'ordre. C'est ainsi que la rougeole, les rhumes, un panaris, la varicelle ont été vaincus, quelquefois en vingt-quatre heures, comme ce fut le cas pour les oreillons et une otite double.
Notre fille fréquente l'École du dimanche depuis son jeune âge, avec son petit frère, et tout deux sont heureux d'y aller. Ils y reçoivent des enseignements pratiques qui leur permettent de résoudre tous leurs petits problèmes. Elle est sans limites ma reconnaissance envers notre Leader, Mrs. Eddy, qui avec un dévouement inlassable travailla pour donner aux humains le don inestimable qu'est la Science Chrétienne. J'apprécie particulièrement tout ce que notre Église a fait pendant la guerre pour subvenir aux besoins des peuples nécessiteux, en vêtements et en vivres.
Les mots ne peuvent exprimer ma gratitude envers Dieu, notre Père, et Jésus le Christ; je suis reconnaissante de ce que L'Église Mère protège tous ses membres comme une mère entoure ses enfants. Nos praticiens, les moniteurs de l'École du dimanche, les conférenciers, les périodiques sont aussi des sujets de gratitude. — Paris, France.
Je puis attester que le témoignage de ma femme est correct. Je suis Scientiste Chrétien moi aussi, et les bienfaits que je dois à cette religion sont innombrables. Ma reconnaissance est profonde. —