Je désire exprimer ma gratitude envers Dieu pour les nombreuses bénédictions reçues grâce à la Science Chrétienne. J'apprécie particulièrement son pouvoir guérisseur.
Un jour, comme je traversais l'atelier de construction mécanique où je travaille, je vis deux hommes tâchant de charger sur une camionnette à deux roues une lourde pièce de fonte. Je pouvais voir qu'elle était trop lourde pour eux et je voulus leur donner un coup de main. A ce moment la pièce glissa et me tomba sur le milieu du pied. J'eus tout de suite recours à la vérité, au fait que les accidents n'existent pas en Dieu, dans l'Entendement; je sus que si l'homme est créé à l'image, à la ressemblance divine, et reflète Dieu, l'erreur ou le mal ne peuvent l'atteindre. Je répétai la « Prière quotidienne » qui se trouve dans le Manuel de l'Église (Art. VIII, Sect. 4) et « l'exposé scientifique de l'être » qui figure dans Science et Santé (p. 468), par Mrs. Eddy. Quand les ouvriers accoururent pour voir ce qui était arrivé, je fus comme englouti par une vague de douleur. La souffrance était presque intolérable, mais je m'attachai fermement aux vérités apprises en Science Chrétienne.
On m'emmena vers l'infirmière de la fabrique qui à la vue de mon pied, prit sans délai les arrangements nécessaires pour que j'aille chez un docteur. En paroles je ne mis pas obstacle à la chose, car je savais que la compagnie avait une règle à cet égard, et comme Scientiste Chrétien je m'efforce d'observer la loi. Pendant qu'on me conduisait en automobile chez le docteur, je continuai mon travail métaphysique. Nous sortions de l'ascenseur lorsque quelque chose craqua dans mon pied, avec un bruit si fort que mon compagnon put l'entendre. Immédiatement les douleurs prirent fin et je me sentis de nouveau libre, heureux. Quand il eut vu mon pied, le docteur en fit prendre une radiographie. Il dit qu'il y avait eu fracture mais que les os étaient parfaitement remis; qu'il allait simplement faire un bandage et me renvoyer à mon domicile.
Lorsque j'y arrivai, l'on fit venir une praticienne qui se mit à l'œuvre avec amour. Le lendemain je restai à la maison pour lire et faire mon travail métaphysique, ce qui paraissait plus sage. Le matin suivant, je me sentis si bien qu'à l'heure habituelle j'allai travailler. Quand j'entrai au bureau, j'y fus accueilli avec beaucoup de surprise et même d'anxiété car on avait déjà reçu le rapport du docteur qui disait: « Trois mois d'invalidité. »
Je suis reconnaissant de ce que le pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne fut démontré; pour moi c'était une nouvelle preuve de ce qu'écrit notre bien-aimée Leader, Mrs. Eddy, à la page 494 de Science et Santé: « L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y répondra toujours. » Au chapitre quatorze de saint Jean, nous lisons ce passage: « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais; il en fera même de plus grandes, parce que je vais auprès du Père. » La Science Chrétienne m'inspire une profonde gratitude. — Saint-Paul (Minnesota), États-Unis.
Je suis reconnaissante de cette preuve montrant qu'en Science Chrétienne, la Vérité et l'Amour divin guérissent. J'ai vu s'accomplir la guérison mentionnée et j'atteste que le récit en est véridique. —
