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J'étais tout jeune lorsque par la Science Chrétienne...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1951


J'étais tout jeune lorsque par la Science Chrétienne ma mère fut guérie de migraines névralgiques dont elle avait souffert dès son adolescence. Je me rappelle fort bien le jour où elle détruisit les globules homéopathiques et les fioles de remèdes que l'on employait beaucoup à cette époque-là. Grâce à sa ferme compréhension de la Science Chrétienne, notre famille de cinq enfants compta exclusivement sur cette Science comme remède à tous les maux. Bien des guérisons eurent lieu dans notre foyer. C'est un bonheur de pouvoir dire que quatre des enfants, devenus adultes, suivirent le cours d'instruction en Science Chrétienne et que tous les cinq ont recours à cette Science dans la vie journalière.

Comme jeune garçon, j'étais affligé d'un catarrhe sérieux que plusieurs docteurs n'arrivaient pas à guérir. Lorsque nous nous tournâmes vers la Science, ce mal fut vite vaincu. Vers la même époque, le bégaiement dont je souffrais fut guéri d'une manière rapide et permanente. Dans les deux cas, le travail consacré de ma mère fut couronné de succès. Ce fut une grande joie que d'être affranchi de ces maux.

Quelques années plus tard, à une époque où je ne faisais rien pour l'église et où je m'étais mis à fumer, j'eus un grand désir de me joindre à une église filiale pour laquelle je puisse travailler. Grâce à ce désir intense, je fus libéré de l'esclavage du tabac. La chose remonte à plus de quatorze ans et il ne reste aucun vestige de cette habitude.

Pendant la première Guerre mondiale, j'étais dans l'aviation où l'on attachait une grande importance aux yeux. J'avais négligé de faire à cet égard un travail de protection, et quand je fus licencié, ma vue s'affaiblit au point qu'il me fallut des lunettes. Quand je m'éveillai au fait que cette condition était due à ce que je ne m'étais pas protégé contre les erreurs enseignées aux apprentis pilotes, je me mis à réfuter fermement ces pensées-là. Le défaut ne devait pas être toléré! Chaque jour je niai que la mauvaise vue puisse avoir une cause. Le seul, l'unique créateur n'a jamais fait une vision imparfaite. A maintes reprises j'affirmai que voir c'est comprendre, aptitude qui n'est jamais à la merci de la matière; que la perception est une faculté de l'Entendement dont la nature est parfaite. Bien que n'ayant recours à aucune formule, j'eus chaque jour l'occasion de nier le mensonge en affirmant la vérité. Ce travail fait sans hâte me rendait heureux et je ne mis jamais en doute son résultat. Je ne cherchai pas à vérifier les progrès du point de vue physique. Sans que je puisse donner de date exacte, il vint un jour où les lunettes devinrent superflues. Il y a de cela douze ans ou davantage, et ma vue est toujours restée bonne.

Je ne sais pas ce que je ferais sans la Science Chrétienne. Les enseignements de notre révérée Leader, Mary Baker Eddy, ont apporté au monde plus de bien qu'on ne peut le dire. Le cours d'instruction, l'activité des églises filiales, le travail des fidèles Scientistes qui dans le monde entier contribuent à faire sentir la présence du Christ — toutes ces choses sont des sujets de reconnaissance. —

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