Ma longue recherche de la Vérité fut récompensée en octobre 1946, lorsque je trouvai la Science Chrétienne. C'est avec gratitude que je me rappelle celui qui me présenta cette religion — un Aide Scientiste Chrétien volontaire en uniforme qui travaillait en Allemagne, à Ansbach. Les paroles n'expriment qu'imparfaitement ma gratitude envers la Science Chrétienne, car ma femme et moi-même avons eu de nombreuses bénédictions grâce à l'étude et à la démonstration de ce qu'elle enseigne.
Trois ans plus tôt, mes yeux étaient devenus si faibles que je ne pouvais lire sans lunettes. En lisant avec attention le livre de texte Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, je compris que selon la vérité je n'avais pas besoin de lunettes, et je pus en effet m'en passer.
Enthousiasmé par ce beau résultat, je voulus surmonter une habitude qui datait de vingtcinq ans, c'est-à-dire l'usage des cigarettes. Ici encore la Vérité vainquit l'erreur et je puis dire avec joie que ce ne fut pas une lutte pénible. L'erreur fut chassée grâce à la compréhension que j'avais obtenue en Science Chrétienne.
Peu de temps après notre fils âgé de deux ans, alors qu'il courait tomba sur un seau d'eau contre lequel son visage donna si violemment que le métal fut cabossé comme par un marteau. L'enfant se mit à crier; sa lèvre supérieure avait une profonde blessure qui saignait beaucoup. Je vis la chute et tout d'abord j'eus peur, mais j'affirmai immédiatement la vérité, la réalité de l'être. Le petit se calma et la plaie ne saigna plus. Comme s'il ne s'était rien passé, il demanda son souper qui était prêt et qu'il mangea de bon appétit. Lorsqu'il eut fini son repas, l'enflure avait complètement disparu.
Le lendemain nous aurions voulu faire enlever les parcelles d'émail qui se trouvaient encore dans la plaie, mais cela n'eut pas lieu car l'enfant se mit à pleurer bien fort. Nous niâmes l'existence de l'inharmonie et nous cessâmes de penser à ce problème. Six mois plus tard lorsque j'examinai le visage de l'enfant, il n'y avait plus aucune trace de la chose.
Quand notre dernier enfant vint au monde, la Science Chrétienne fut d'une grande aide pour ma femme. Tout fut plus harmonieux que les autres fois, ce qui nous causa beaucoup de joie. Jusqu'alors les naissances avaient été prématurées mais cette fois-ci elle fut normale et dès le second jour ma femme put se lever.
Nous sommes très reconnaissants de ces belles démonstrations; notre gratitude s'adresse particulièrement à notre bien-aimée Leader, Mrs. Eddy, qui par sa découverte nous a montré comment nous pouvons reconnaître la présence et l'amour de Dieu. — Ansbach (Moyenne-Franconie), Allemagne.
