Les enseignements de la Science Chrétienne ont rendu ma vie tellement meilleure que je n’arrive pas à dire toute ma gratitude.
Depuis des années, des amis essayaient d’éveiller mon intérêt pour la Science Chrétienne. Mais j’attendis d’être complètement découragé, malade de corps et d’esprit, pessimiste sous tous les rapports, sans espoir, pour consentir à me rendre, un mercredi soir, voici plus de quatre ans, à une réunion de témoignages. Mon intérêt pour la Science augmenta et je fus guéri de bien des choses parmi lesquelles je citerai un catarrhe, une sinusite, l’habitude de boire et de fumer, la nervosité, la constipation, les maux de tête et d’estomac, l’asthme et le rhume des foins. Toutes ces guérisons s’avérèrent permanentes.
Plusieurs autres belles guérisons, permanentes elles aussi, se sont produites dans ma famille. Sous divers rapports nous avons été protégés, conduits; il s’est trouvé pour nous une demeure quand sévissait ici la crise du logement.
La manière dont disparurent l’asthme et le rhume des foins fut une grande révélation, une démonstration de la simple vérité qu’expose la Science Chrétienne. Depuis seize ans le rhume des foins me tourmentait; il fut bientôt suivi d’un asthme si grave que vers l’automne je pouvais à peine dormir et je passais les nuits dans un fauteuil. Pour me permettre de continuer mon travail, on m’avait fait pendant six mois des injections, deux ou trois par semaine; du reste je n’en obtenais qu’un soulagement partiel et temporaire.
Une fois que je m’intéressai à la Science Chrétienne, je voulus y avoir recours et je renonçai aux remèdes matériels. Quand vint l’époque où le rhume des foins m’assaillait, je pus y faire face dans une certaine mesure, mais les progrès étaient toujours suivis d’une rechute. Je m’efforçai plusieurs fois de vaincre la chose, mais vers la fin de la semaine je me trouvai si mal qu’il me fallut quitter la campagne pour aller dans l’appartement d’un ami, en ville, où je souffrais moins en apparence et pouvais rester seul.
Pensant à ce que déclare Mrs. Eddy dans son Message to The Mother Church for 1900 (p. 2): « Voici le chant de la Science Chrétienne: “Travaille — travaille — travaille — veille et prie,” » j’ouvris le livre de texte, Science et Santé, par Mrs. Eddy; avec recueillement, dans un esprit de prière, je me mis à lire le chapitre « Les pas de la Vérité. » Vers minuit, j’essayai de dormir, mais mon état rendit la chose impossible. Je repris l’étude de ce même chapitre, lisant aussi certains passages dans le chapitre sur la Prière et tâchant de comprendre ce que je lisais. Je poursuivis l’étude et la prière jusqu’à trois heures du matin, et à ce moment le mal me quitta tout à coup.
Je m’endormis un peu plus tard et je pus me lever à l’heure habituelle, plein de vigueur et fortifié par l’expérience que j’avais faite. Ce jour-là je travaillai plus que de coutume sans me fatiguer; je ne m’étais jamais senti aussi bien. Pour moi ce fut une démonstration des vérités que révèle la Science Chrétienne.
Les praticiens m’ont beaucoup aidé; les dispositions prises par Mrs. Eddy pour établir l’œuvre de la guérison ainsi que toute l’activité de l’église me remplissent d’admiration et de reconnaissance. En ce qui concerne la Bible et l’interprétation spirituelle qu’en donne Mrs. Eddy dans Science et Santé, ma gratitude augmente sans cesse. Je rends grâce à Dieu qui a donné au monde la Science Chrétienne. — Lakewood (Ohio), États-Unis.
