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C'est une grande joie d'attester le pouvoir...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1949


C'est une grande joie d'attester le pouvoir curatif de la Science Chrétienne et d'exprimer ma gratitude pour les nombreux bienfaits que je lui dois. Mon cœur déborde de reconnaissance, car j'ai eu maintes guérisons physiques et l'étude de cette Science m'a fait monter spirituellement.

A la naissance de notre premier enfant, je fus guérie d'une façon complète et permanente grâce à l'aide d'une praticienne, après que les docteurs eurent déclaré qu'ils ne pouvaient plus rien pour moi et que ma fin était proche.

Une autre fois, pendant que j'étais à mon travail, je tombai gravement malade de la grippe. On m'envoya à la maison et je demandai de l'aide à une praticienne. Elle me traita pendant deux jours sans qu'il y eût d'amélioration. Le troisième jour elle vint me voir et chanta les paroles de quelques cantiques qui figurent dans l'Hymnaire Scientiste Chrétien, notamment tous ceux de Mrs. Eddy. Ma guérison fut complète, de sorte que dans l'après-midi je me levai et pus me vêtir.

A l'âge de neuf ans, l'un de nos fils eut un furoncle à la nuque. Le premier traitement par la Science Chrétienne détruisit la douleur et quoique le furoncle persistât pendant six semaines, l'enfant n'en souffrit plus du tout. J'étudiai les paroles du cantique 144, qui m'apportèrent une admirable révélation. Quand je vis que seul le sens matériel nous décevait et nous faisait croire que quelque chose allait mal, et quand je compris que Dieu « nous maintient parfaits dans Son amour, » la vilaine enflure disparut immédiatement.

Un mercredi soir vers sept heures, j'eus très mal au bas du dos. Revendiquant la maîtrise sur un faux concept matériel du corps, je pus poursuivre mon travail et me rendre à la réunion du mercredi soir. Pendant la nuit les douleurs augmentèrent et les mouvements me devinrent presque impossibles. A grand-peine j'arrivai jusqu'au téléphone et demandai de l'aide à une praticienne. Comme autrefois Jacob, je luttai jusqu'à ce que le jour paraisse; alors cette définition donnée par Mrs. Eddy dans Science et Santé (p. 584) vint remplir ma conscience: « Jour. L'irradiation de la Vie; la lumière, l'idée spirituelle de la Vérité et de l'Amour. » Je me sentis complètement entourée du « matin » que Mrs. Eddy appelle «lumière; symbole de la Vérité; révélation et progrès » (ibid., p. 591). J'étais absolument en paix avec Dieu, avec le monde, mes semblables et moi-même. La critique fit place à un profond sentiment de gratitude, de reconnaissance envers Dieu, envers notre Leader, les praticiens qui m'avaient traitée et les amis qui m'avaient soutenus avec amour tout le long du chemin. Les discords et la confusion me quittèrent et je me sentis libre. Je me levai à l'heure habituelle, m'habillai et me rendis au travail, heureuse et contente.

Ce témoignage serait incomplet si je ne mentionnais pas avec gratitude la guérison des difficultés financières. En 1930, quand nos affaires allaient très mal, je demandai à suivre le cours d'instruction. Grâce à mon étude consacrée et à l'aide que me donna mon futur professeur, je fus conduite à solliciter une place qui devait bientôt être vacante; pourtant la personne avec qui j'eus une entrevue me dit qu'un grand nombre de candidats s'étaient fait inscrire. Quelques jours plus tard, on m'avisa que j'étais nommée et que dès le début je serais mieux payée que ce n'est généralement le cas. Je reconnus tout de suite l'œuvre de Dieu — c'était Lui qui m'avait placée là. Exprimant une profonde gratitude, j'eus un avancement rapide et travaillai dans cette place avec bonheur pendant de longues années.

Je suis très reconnaissante d'être membre de l'Église Mère et d'avoir pu remplir bien des fonctions au sein d'une église filliale. J'ai eu le bonheur d'être instruite par un professeur consacré et j'en éprouve une sincère gratitude. —

Le témoignage de ma mère qui mentionne la guérison d'un furoncle est exact. Je suis aussi reconnaissant des nombreuses autres guérisons et de la protection que j'ai eues en Science Chrétienne.


J'aime ceux qui m'aiment, et ceux qui me recherchent me trouvent. Avec moi sont les richesses et la gloire, les biens durables et la justice... Heureux l'homme qui m'écoute, qui veille à mes portes chaque jour, et qui garde le seuil de ma maison! Car celui qui me trouve a trouvé la vie et obtient la faveur de l'Éternel.

Proverbes 8:17, 18, 34, 35

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