Dans Science et Santé, Mrs. Eddy nous donne cette remarque bienfaisante (pp. 427, 428): « La pensée se réveillera de sa propre déclaration matérielle: “Je suis mort,” pour saisir cette parole claironnante de la Vérité: “Il n'y a pas de mort, pas d'inaction, d'action morbide, de suractivité, ni de réaction.” » Maintes fois ces paroles m'ont élevée plus haut que la notion mortelle de l'existence, et m'ont guérie.
Je suis très reconnaissante d'avoir pu fréquenter l'École du dimanche Scientiste Chrétienne, à laquelle je dois les bases du penser juste, fermement établies. Les vérités qu'on m'enseigna furent d'excellents échelons qui favorisèrent mes progrès spirituels à l'école, dans les affaires, et dans mon foyer où règne l'harmonie.
Certains défauts furent démasqués et chassés. J'ai eu bien des guérisons; par exemple, les refroidissements et les maux de gorge disparurent instantanément; je n'ai plus besoin de lunettes pour lire; une infection au pied, une nervosité extrême, une faiblesse des reins, ont été vaincues. La crainte de l'avenir et une tendance à la tristesse maladive ont disparu depuis longtemps.
Dans ma jeunesse je fus guérie d'un goitre. Quand ce mal apparut, ma mère et moi venions d'entreprendre l'étude de la Science Chrétienne. D'autres membres de la famille insistèrent pour que je me fasse examiner à fond par le médecin. Celui-ci déclara qu'une opération immédiate s'imposait. Mais ma mère tint bon et fit venir une praticienne qui, avec amour, nous aida à nous élever plus haut que l'erreur. Inutile de dire que l'opération n'eut pas lieu; et la guérison ne tarda pas à s'accomplir.
Ma reconnaissance éternelle s'adresse à Dieu, à notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, et aux praticiens dans tous les pays; je suis heureuse de prendre part, si modestement que ce soit, à l'activité d'une église filiale et d'être membre de L'Église Mère. — University City (Missouri), États-Unis.