La Science Chrétienne m'a valu tant de bénédictions que je ne puis plus tarder à exprimer ma gratitude.
Avant de m'y intéresser, je souffris beaucoup des yeux, pendant de longues années. Je consultai divers spécialistes qui me prescrivirent d'autres lunettes et me traitèrent, mais sans succès. On me dit que je ne me guérirais pas et qu'avec l'âge, la douleur empirerait jusqu'à devenir presque insupportable. Pour finir je fus amenée à la Science Chrétienne; après deux traitements je compris que j'avais enfin trouvé la vérité qui guérit. J'eus maintes preuves du fait que cette Science est efficace, mais en ce qui concerne les yeux, la démonstration complète prit un certain temps.
J'eus une autre guérison d'un mal très douloureux, affectant l'intestin. J'en souffrais depuis des années et j'avais subi deux opérations. Les docteurs déclaraient que je ne pouvais pas être guérie, qu'il me faudrait de temps en temps subir une nouvelle opération. J'étudiais la Science Chrétienne depuis peu lorsque ce mal reparut, mais je le surmontai en quelques jours, simplement en lisant Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Plus tard, il essaya une ou deux fois de revenir, mais j'eus recours à la vérité et le mal disparut. Il y a plusieurs années de cela, et depuis lors je n'ai jamais eu de rechute.
Une nuit, de violentes douleurs à une dent et aux gencives me réveillèrent. Je me mis tout de suite à travailler pour savoir que cet argument était irréel; le matin à mon réveil, je n'avais plus mal, et la dent ne branlait pas. Deux ans plus tôt, dans des conditions analogues, j'avais perdu une dent. En une autre occasion, après un examen, le dentiste me dit qu'il fallait tout de suite arracher une de mes dents. Comme je faisais des objections, il finit par dire que pour me satisfaire il prendrait d'abord une radiographie; mais il était sûr que l'extraction s'imposait. Pendant qu'il développait la plaque, j'allai dans une autre pièce et je fis mon travail métaphysique. Quelques minutes plus tard, le dentiste m'appela pour me montrer la radiographie; il avait de la peine à comprendre ce qui s'était passé, car après avoir eu la conviction qu'il faudrait extraire la dent, il constatait qu'on pouvait la sauver. Ceci remonte à douze ans, et cette dent est encore dans ma bouche.
Un vendredi soir, je tombai en descendant l'escalier. Un de mes pieds était en avant; l'autre fut retenu au bord d'une marche, et tout le poids de mon corps tomba sur ce pied. Immédiatement je répétai « l'exposé scientifique de l'être, » que nous trouvons à la page 468 de notre livre de texte; puis je rentrai dans ma chambre. Pendant la nuit j'eus très mal au pied et à la jambe, mais le lendemain matin je me sentis beaucoup mieux. Le dimanche avant midi, je fis plus de trois kilomètres à pied. Quelques jours plus tard, toute trace d'accident avait disparu.
En 1928, lors du décès d'une personne qui m'était très chère, je fus guérie de l'affliction, et j'en suis bien reconnaissante.
Voilà, parmi beaucoup d'autres, quelques preuves de la tendre sollicitude divine, qui m'ont été données depuis que j'étudie la Science Chrétienne; et j'en rends grâces à Dieu. Je suis très reconnaissante d'être membre de l'église, d'avoir suivi le cours d'instruction; j'apprécie les publications, les conférences et les Salles de lecture.
Los Angeles (Californie), États-Unis.
