Ma gratitude concernant les nombreux bienfaits reçus par le canal de la Science Chrétienne m'engage à écrire ce témoignage. Je tiens à mentionner tout d'abord la paix que m'a value une compréhension meilleure de Dieu, et la cessation des craintes touchant un au-delà incertain.
Je fus élevé dans un milieu chrétien; on me faisait lire la Bible et fréquenter les cultes. A l'école, j'avais des leçons de religion, et j'appris à connaître les récits bibliques; je prenais plaisir à certains d'entre eux, mais il y en avait d'autres que je mettais en doute et ne pouvais comprendre. J'aspirais à être bon, à faire du bien, mais pour moi l'église ne satisfaisait pas ce désir; aussi lorsque je quittai le foyer paternel, je ne fréquentai plus les cultes, sauf de temps en temps pour retrouver des amis.
Plus tard j'eus des maux d'estomac; pour m'en délivrer j'eus recours aux docteurs, à la médecine, à l'hygiène, au changement de climat, mais sans succès. Je n'étais pas assez malade pour rester au lit, mais je ne me trouvais jamais bien. Ne supportant pas le froid des États du nord, je finis par m'éta-blir dans le sud, où le climat est plus doux. De passage dans une ville, j'assistai à une conférence sur la Science Chrétienne. Le conférencier dit entre autres une chose qui m'intéressa beaucoup: « La Science Chrétienne ne vous enlève jamais le bien que vous avez. Au contraire, elle y ajoute. » J'eus bientôt la preuve que cela est vrai. Peu après la conférence, je me rendis chez une praticienne et je ne tardai pas à me guérir. J'entrepris l'étude de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, parallèlement à celle de la Bible, qui devint pour moi un livre nouveau dont je ne voudrais pas me séparer un seul jour.
Depuis que j'étudie la Science Chrétienne j'ai joui d'une bonne santé. Toutefois, au cours des années, j'ai eu trois guérisons physiques qui me prouvèrent à nouveau le pouvoir guérisseur de l'Amour divin.
Il y a près de quinze ans, ma vue baissa. J'appliquai à ce problème ce que je savais de la Science Chrétienne, mais ma compréhension étant insuffisante, je dus porter des lunettes. Huit ans plus tard, il m'aurait fallu les changer contre des verres d'un numéro plus fort. Au lieu d'en venir là, j'eus recours à un praticien de la Science Chrétienne et je mis de côté mes lunettes. Cette guérison fut quelque peu lente; il se passa plusieurs semaines avant que je puisse lire facilement. Toutefois je lisais chaque jour Science et Santé ainsi que la Bible, et ma vue se fortifiait. Ce qui m'aida beaucoup à résoudre ce problème, ce fut la réalisation d'une vérité contenue dans Science et Santé (p. 214): « Ni âge ni accident ne peut porter atteinte aux sens de l'Ame, et il n'y a pas d'autres sens véritables; » j'ai prouvé qu'il en est ainsi, car depuis plusieurs années je ne porte pas de lunettes.
Plus tard mon ouïe fut affectée. Quand je m'en aperçus, j'essayai de résoudre ce problème sur la même base que le précédent, mais le mal devint aigu, douloureux, et il me fallut demander l'aide d'un praticien. Au bout de quelques jours une de mes oreilles se mit à suppurer, la douleur prit fin et j entendis de nouveau normalement. Avant cela, pendant que je travaillais en Science Chrétienne, je scrutai ma conscience pour découvrir l'erreur qui voulait empêcher la guérison. Je m'aperçus que j'avais le tort de prendre des stimulants. A la page 225 de Science et Santé, Mrs. Eddy déclare: « Tout ce qui asservit l'homme est contraire au gouvernement divin; » en outre, à la page 406, elle mentionne « le goût dépravé » pour le thé, le café. Je me rendis compte que dans une certaine mesuré j'étais l'esclave de ces stimulants, et je renonçai à en faire usage. Je ne sais pas si cette décision fut cause que mon ouïe se guérit, mais je suis heureux de dire que j'eus dans ce cas une double guérison.
Le traitement de la Science Chrétienne m'a aussi guéri d'une pneumonie. La délivrance ne fut pas instantanée, mais elle fut radicale. Au bout de deux jours les douleurs et la fièvre me quittèrent et la convalescence fut rapide.
Ce témoignage serait incomplet si je n'exprimais pas ma gratitude envers Dieu, Dispensateur de tous les biens, au sujet de Jésus le Christ, le Conducteur, et de Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Je suis aussi reconnaissant d'être membre de L'Église Mère et d'une église filiale, et d'avoir suivi le cours d'instruction; j'y ai puisé une compréhension meilleure de Dieu qui me met à même de rendre témoignage, dans une certaine mesure, au pouvoir de la Vérité.
Atlanta (Georgie), États-Unis.
C'est avec grand plaisir que je confirme les déclarations faites par mon mari. Depuis plus de quinze ans la Science Chrétienne est pour moi une joie, un réconfort.
J appris à connaître cette Science pendant un séjour chez des amis, en Californie. C'est alors, en été, que j'eus ma première guérison. Ayant les yeux très fatigués, je portais des lunettes et les lumières trop vives m'étaient pénibles. Un soir, je lus d'un bout à l'autre la Christian Science Sentinel et, à ma grande surprise, je constatai que je l'avais fait sans lunettes. Mes yeux ne me faisaient pas mal et les lumières ne me gênaient plus. Ce fut pour moi un grand réveil; il me semblait entendre une voix joyeuse qui disait: « Tu es guérie! Tu n'as plus besoin de lunettes! » En effet, depuis ce jour-là je n'en ai pas porté. Encouragée par cette guérison subite, je renonçai à la médecine sur laquelle j'avais compté toute me vie. Je n'ai plus jamais pris de remèdes.
Dernièrement la Science Chrétienne m'a beaucoup réconfortée et les lois médicales concernant le retour d'âge ont été annulées. Une praticienne m'aida à raisonner correctement sur ce sujet en citant Jacques 1:17: « Toute grâce excellente et tout don parfait viennent d'en haut et descendent du Père des lumières, en qui il n'y a aucune variation ni aucune ombre de changement. » Je vis dans cette épreuve une admirable occasion d'obéir à ce conseil de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 261): « Détournez votre attention du corps pour contempler la Vérité et l'Amour, le Principe de tout bonheur, de toute harmonie et de l'immortalité. »
Atlanta (Georgie), États-Unis.