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Les paroles ne suffisent pas pour exprimer ma gratitude envers Dieu...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1945


Les paroles ne suffisent pas pour exprimer ma gratitude envers Dieu qui nous a donné la Science Chrétienne par Mary Baker Eddy, dont la pureté, la réceptivité, la mirent à même de découvrir et de fonder la Science grâce à laquelle j'ai vu disparaître chez moi-même et chez d'autres toutes sortes de conditions inharmonieuses.

Comprendre que Dieu est la Vie éternelle, que l'homme étant Sa réflexion n'est pas atteint par le péché, la maladie, la mort, a guéri mes deux enfants et moi-même du sentiment de séparation, de choc, lorsque mon mari fut tué dans un accident d'automobile. L'affliction fut guérie d'une manière immédiate, complète, permanente; pourtant notre famille était unie par une profonde affection humaine, comme peuvent l'affirmer tous ceux qui nous connaissent bien.

Plusieurs années auparavant, j'avais entendu une conférence sur la Science Chrétienne, dont je copie ici le passage suivant dans l'espoir qu'il aidera d'autres personnes à comprendre la puérilité du chagrin et de l'abattement: « J'eus l'occasion de rendre visite à une amie Scientiste Chrétienne peu après le décès d'un mari dévoué qui lui était très cher. Elle m'accueillit tranquillement; sa manière d'être respirait le calme, la paix et la joie. Je lui dis: “Parlez-moi de ce qui est arrivé, mon amie;” elle répondit: “Quand mon bien-aimé sembla partir, après trente ans d'une union parfaite, je vis tout à coup s'ouvrir devant moi ce qui paraissaît être un abîme. Il me semblait que j'étais au bord d'une profonde vallée et que pour continuer ma route il me faudrait descendre dans cette terrible dépression. Alors le Christ vint à moi dans les ténèbres et je vis que l'abîme n'était qu'une illusion des sens; que n'étant pas causé par Dieu, la Vie divine, il était irréel, inexistant, que je pouvais y faire face et même s'il le fallait le traverser.

« “Ensuite j'eus le sens spirituel de la vie, de sa continuité, de sa présence éternelle; je sentis que l'homme ne peut être séparé de Dieu, de sa Vie divine. Ceci me réveilla et je pus voir clairement que si je descendais dans le gouffre du chagrin, dans le bourbier de l'isolement, dans les fondrières du désespoir, il me faudrait une fois ou l'autre en sortir, peut-être avec peine. Si j'allais dans cette profonde vallée, je ne trouverais aucun réconfort, je ne ferais aucun bien à celui qui m'est cher, et je ne procurerais aucun bonheur à mes amis. Je priai donc Dieu de me montrer une voie meilleure, et Il me montra un sentier qui serpente sur les hauteurs. J'y marche avec joie, plus haut que les illusions du chagrin, des peines produites par l'entendement mortel.” »

Grâce à l'application de la Science Chrétienne, Dieu m'a montré à moi aussi cette « voie meilleure. »

Si nous n'avions point nous-mêmes passé par là, je n'aurais pas cru à la possibilité d'une guérison complète telle que ma mère l'a décrite. Ce qui m'a le plus encouragée, ce fut de comprendre qu'il n'y a pas de mort et que mon père a toujours avec lui la vérité qui lui permet de résoudre ses problèmes.

Lors de cette épreuve, la suggestion que je ne pourrais pas continuer mes études universitaires se présenta; mais nous sûmes que si le chagrin et l'affliction pouvaient être surmontés, le sentiment de pénurie pouvait l'être aussi. Depuis lors mon frère et moi nous avons pu continuer nos études. Au cours des deux dernières années j'ai vécu à l'université et je me suis trouvée heureuse, active et bien entourée. —

Je désire aussi confirmer le témoignage de ma mère et dire combien je suis reconnaissant de cette guérison. Toute ma vie j'ai bénéficié des enseignements et de l'influence de la Science Chrétienne. Au cours des deux dernières années j'ai eu dans deux cas une protection remarquable. Ayant tout récemment passé pour la première fois une visite médicale, je me suis entendu dire que je suis en parfaite santé.

Au moment d'entrer dans une nouvelle phase de ma carrière, au service de ma patrie, je m'efforce de comprendre que « Dieu est partout, et rien en dehors de Lui n'est présent ni puissant » (Science et Santé, par Mrs. Eddy, p. 473). —

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