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Pour moi, le fait que nous pouvons prouver « toutes choses » rend la...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1944


Pour moi, le fait que nous pouvons prouver « toutes choses » rend la Science Chrétienne admirable et glorieuse. Comme adhérents de cette belle religion qui guérit, nous avons non seulement le privilège mais le grand devoir de prouver que le bien est réel, et que le mal de toute espèce est irréel.

Il y a treize à quatorze ans, lorsque je me tournai vers la Science Chrétienne, je passai de longues heures à la Salle de lecture, scrutant avec zèle les périodiques et surtout les témoignages; dans ma détresse j'espérais que les guérisons d'autrui me donneraient du courage. Ma santé n'avait jamais été très bonne, et avec les années mes souffrances s'étaient accrues; car j'étais nerveuse, impressionnable, et mon caractère laissait à désirer.

Lorsque survint la crise financière, je souffrais d'une maladie jugée incurable; en outre, après des années d'abondance, nous nous trouvâmes appauvris, mon mari et moi. Troublés par un sentiment d'incertitude et nous sentant parfois désespérés concernant notre situation pécuniaire, nous nous mîmes de tout cœur à l'étude de la Science Chrétienne.

Pendant un certain temps la vie me parut intolérable. Mais dans ces heures sombres j'eus toujours l'aide de praticiens pleins d'amour, et je désire exprimer à cet égard ma profonde reconnaissance. Les guérisons se produisirent peu à peu. La démonstration du travail se fit et nous apprîmes à ce sujet de précieuses leçons. Une bronchite se compliquant d'un asthme — mal jugé héréditaire chez moi — finit par disparaître après quelques traitements. Un déplacement d'organes qui avait empiré avec les années et me causait parfois de grandes douleurs, céda graduellement, en conséquence de la loi divine miséricordieuse d'après quoi la maladie n'existe pas. Une maladie que les docteurs n'avaient pu guérir et qu'ils appelaient un ulcère au duodénum avec complications, finit par céder à la vérité libératrice et la guérison s'accomplit.

Je suis extrêmement reconnaissante de ces guérisons et de beaucoup d'autres. Mais ce qui m'importe encore davantage c'est que bien des défauts ont été démasqués. Il m'a fallu apprendre que ce sont les « petits renards qui ravagent nos vignes; » qu'on ne peut s'abandonner à la susceptibilité, à l'orgueil, à l'excitation émotive, à la malice ou à d'autres erreurs, et jouir en même temps des belles choses qui sont notre droit de naissance — liberté, santé, paix, abondance.

La lutte a été rude, mais grâce au désir sincère, à l'effort persévérant, la radieuse paix que Dieu donne devient chez moi toujours plus manifeste et plus constante; cette paix surpasse toutes les conditions physiques extérieures, soit individuelles, soit générales. Dans mes prières de chaque jour, je recherche l'humilité ainsi qu'une compréhension plus grande.

Avec une pieuse gratitude, je reconnais les nombreuses guérisons, les bénédictions reçues, et surtout ce don sans prix: la Science Chrétienne.

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