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Une profonde gratitude, le sentiment du devoir et un sincère désir...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1941


Une profonde gratitude, le sentiment du devoir et un sincère désir d'aider mon prochain me poussent à donner le témoignage qui suit.

Un matin, il y a quelques années, en sortant de la maison, je sentis que mes chevilles cédaient et j'eus besoin d'aide pour rentrer chez moi. Aussitôt, je commençai à souffrir des jambes. A mesure que les douleurs augmentaient, mon état s'aggravait et, au bout d'une semaine, j'étais tout à fait infirme.

J'habitais alors une petite localité du Wyoming. Tout ce que les docteurs purent faire pour me soulager fut de me donner de la morphine. On décida de me transporter dans un hôpital à Denver, où je pourrais être soigné par des spécialistes. A l'hôpital les docteurs et les infirmières firent avec beaucoup de dévouement tout ce qu'ils purent pour m'aider. Jour après jour, les médecins recherchèrent l'origine du mal, mais ils ne purent la découvrir. Sans soporifique, je ne pouvais ni dormir ni me reposer. J'acquis ainsi l'habitude de la morphine; après plusieurs semaines de traitement, j'étais encore au lit, trop faible pour me nourrir moi-même ou pour me soulever sans aide.

Ma femme passait de longues heures à mon chevet et nous étions tous deux très découragés par l'absence de progrès. Elle demanda au docteur combien de temps s'écoulerait avant qu'on puisse s'attendre à une amélioration. Il lui répondit avec franchise qu'il ne pouvait rien prévoir d'autre que l'usage d'un fauteuil roulant; qu'après des mois il arriverait peut-être à me faire marcher avec des béquilles.

« La détresse de l'homme est l'opportunité de Dieu. » Ma femme avait loué une chambre dans une maison proche de l'hôpital; là vivait également une dame qui étudiait la Science Chrétienne. Cette personne lui parla d'un praticien de la ville dont le travail avait produit de remarquables guérisons. Le jour suivant, nous téléphonâmes à ce praticien et il vint me voir. Après avoir un peu causé avec nous, il nous dit qu'il ne pourrait rien faire pour moi tant que je serais à l'hôpital, mais que si j'étais prêt à aller dans un home Scientiste Chrétien en ville, il se chargerait de mon cas. J'y consentis tout de suite; alors il prit tous les arrangements nécessaires pour que j'y aille le lendemain matin et il promit de venir me voir vers midi.

Le jour suivant, je fus transporté dans le home en question et mis au lit. A partir de cet instant, je n'employai plus aucun remède matériel. Après un mois de fidèle travail par le praticien, je pus me lever, marcher et sortir en voiture; un peu plus tard, il me fut possible de prendre le train et de retourner à mes affaires.

Les paroles me manquent pour exprimer la sincère gratitude que m'inspire cette guérison; je suis reconnaissant envers Dieu, qui est notre Vie; envers le Christ Jésus, qui vint montrer le chemin de cette Vie; envers Mary Baker Eddy, qui vécut en communion si étroite avec Dieu qu'elle put recevoir cette grande vérité et la donner ensuite au monde dans son livre, Science et Santé. Je suis également très reconnaissant envers le praticien qui par son travail fidèle et dévoué me sortit de cette impasse.

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