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Avis intéressants

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1935


[Extrait de la Christian Science Sentinel du ]

Les personnes qui possèdent des lettres écrites par des hommes ou des femmes célèbres ne se rendent peut-être pas compte qu'elles n'ont pas le droit d'en faire ou d'en vendre des copies sans la permission du scripteur ou de son représentant légal. Selon le droit coutumier, la propriété littéraire d'une lettre continue d'appartenir au scripteur ou à son représentant légal à moins ou jusqu'à ce que ceux-ci en aient disposé.

Ainsi le marchand qui mettrait en vente des lettres écrites par Mrs. Eddy n'aurait pas le droit d'en donner de longs extraits dans son catalogue; il ne peut pas davantage en faire des copies soit pour les distribuer soit pour les soumettre à des amateurs, à moins qu'il n'obtienne la permission des Administrateurs testamentaires de Mary Baker Eddy, lesquels ont la propriété littéraire de toutes ses lettres. Les manuscrits de Mrs. Eddy qui n'ont pas été publiés rentrent dans la même catégorie: il serait illégal de les copier sans la permission des Administrateurs testamentaires.

En somme, tant qu'elle n'a pas été cédée, la propriété littéraire des manuscrits d'un auteur reste à ce dernier ou à ses représentants légaux, bien que la propriété physique du manuscrit ou de la lettre soit entre les mains de la personne qui a reçu ou acheté le document en question. Le scripteur d'une lettre ou d'un manuscrit a donc le droit de protéger ses écrits et d'empêcher que d'autres ne les publient sans son autorisation; ce droit a été mis à l'épreuve et soutenu par les décisions de divers tribunaux, y compris la Cour suprême du Massachusetts, la Cour d'appel de New-York et la Cour suprême des États-Unis.


Contrairement à une observation publiée dans une localité éloignée de Boston, le copyright de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, n'est pas expiré et durera encore vingt-sept ans environ.

[Extrait de la Christian Science Sentinel du ]

Il est bon, nécessaire même, que tout Scientiste Chrétien connaisse les lois régionales ayant trait à la pratique de la Science Chrétienne et aux honoraires payés aux praticiens qui donnent un traitement. L'obéissance à ces lois est essentielle; elle est spécialement nécessaire là où la Science Chrétienne est moins connue que dans les pays de langue anglaise. Moins on connaît la nature bienfaisante de cette Science, plus ceux qui sont mal renseignés risquent de présenter sa portée et sa position sous un jour absolument faux. Les Délégués à la Presse fourniront bien volontiers aux Scientistes Chrétiens de leurs régions respectives tous les renseignements sur ce sujet. Conformément aux instructions données par Le Conseil des Directeurs de l'Église de la Science Chrétienne, les Délégués à la Presse répartis dans le monde entier soutiennent les Scientistes Chrétiens dans le cadre des lois de leur pays; ils aident à les protéger contre toute restriction de leurs droits par des personnes exerçant un pouvoir exécutif, judiciaire ou législatif; mais leurs efforts tendent toujours à sauvegarder la Cause de la Science Chrétienne.


Un des Statuts s'appliquant aux Lecteurs des églises filiales contient cette clause (Manuel de l'Église, Art. III, Sect. 6): « Mais ils devront lire toutes les annonces et remarques qui pourront être imprimées dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne. » Certains Lecteurs en ont conclu qu'ils devaient incorporer à leurs annonces les informations imprimées en tête du Livret Trimestriel, sur le verso de la couverture. Or cet exposé se propose avant tout de renseigner quelque peu les non-Scientistes concernant L'Église Mère et ses filiales, leurs Salles de Lecture et leurs cultes; il s'adresse surtout aux personnes qui examinent ou emploient depuis peu le Livret Trimestriel. Il n'est absolument pas destiné à figurer dans les annonces lues aux cultes des églises filiales.

En effet, il n'est point nécessaire d'annoncer dans les églises filiales ce qui constitue la communion de la Science Chrétienne ou l'Église du Christ, Scientiste; de dire quand elle a été fondée, ou quel but Mrs. Eddy lui assigne à la page 17 du Manuel de l'Église. Mais ces brèves remarques peuvent être utiles à ceux qui ne sont pas au courant des choses.

Au sujet de L'Église Mère, voici quelle est, aux cultes des églises filiales, l'annonce la plus usuelle: « Cette église (suit le nom de l'église) est une filiale de L'Église Mère, La Première Église du Christ, Scientiste, à Boston, Massachusetts. »

[Extrait de la Christian Science Sentinel du ]

Par certaines informations venant de diverses régions des États-Unis, Le Conseil des Directeurs a récemment appris l'existence d'une collection de notes attribuées à un membre de la maison de Mrs. Eddy. Cette collection a beaucoup circulé, et il s'en est vendu au moins quelques exemplaires. Les notes ont des rubriques qui pourraient faire supposer qu'elles ont été prises pendant un cours, et quelques copies portent une marque imitant le sceau de la Science Chrétienne. Or il s'agit d'un sceau déposé à Washington, qui ne peut être reproduit sans permission. La personne à laquelle on attribue ces notes n'est nullement responsable de l'usage qu'on en a fait. Il ne faudrait pas croire que ces prétendues notes soient authentiques ou reproduisent avec exactitude les paroles de Mrs. Eddy. Ce n'est pas faire preuve de justice ou de fidélité envers notre Leader que de lui attribuer des déclarations dont l'authenticité est douteuse. Il est bon de considérer comme pièces apocryphes, sinon comme faux avérés, des documents qu'on dit avoir été écrits ou inspirés par Mrs. Eddy, mais qui ne viennent pas directement d'elle et ne s'accordent ni dans le fond ni dans la forme avec ce qu'elle a publié. Quiconque possède des écrits dont l'authenticité est douteuse fera bien de les envoyer pour vérification au Conseil des Directeurs de L'Église Mère.

Tous les Scientistes Chrétiens ont envers leur Leader des devoirs actifs. Ceux qui ont fait partie de sa maison ont des obligations toutes spéciales, correspondant à la nature des services qu'ils devaient rendre. Quant aux autres Scientistes Chrétiens, ils peuvent reconnaître ce devoir par le refus d'en encourager le mépris; ils peuvent réprouver, si l'occasion leur en est offerte, une manière d'agir qui viole certaines obligations. Ces commentaires se fondent sur les stipulations bien connues que contient le Manuel de l'Église (Article VIII, Sections 1 et 6).

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