[Extrait de la Christian Science Sentinel du 4 février 1933]
Fréquemment, les Scientistes Chrétiens, surtout les praticiens, reçoivent des sollicitations ou des circulaires par rapport à des entreprises commerciales qui sont souvent légitimes, mais parfois le contraire. Quelques-unes prétendent favoriser des activités philantropiques spécialement en faveur des Scientistes Chrétiens, tandis qu'elles sont peut-être des impositions.
Il est presque inutile de dire au Scientiste Chrétien, bien au courant des affaires, que toute entreprise commerciale devrait reposer sur ses propres mérites. Les Scientistes Chrétiens préfèrent acheter aux négociants qui traitent leurs affaires d'une manière conservative et cherchent l'appui du public en général, plutôt que d'acheter en particulier à quelque groupe religieux. De temps à autre les périodiques de la Science Chrétienne ont publié des avis pour mettre en garde les Scientistes Chrétiens contre les articles qu'on offre de leur vendre sous prétexte qu'ils pourront particulièrement en faire usage dans leurs bureaux, dans leur travail, et qui sont peut-être accompagnés de quelque allusion aux publications de la Science Chrétienne. Notre quotidien, The Christian Science Monitor, offre une excellente occasion d'annoncer dans ses colonnes tout service légitime et tout produit. La publicité de ses colonnes est réservée à chaque lecteur du Monitor, non exclusivement aux Scientistes Chrétiens, et toute entreprise commerciale qui y fait de la réclame doit reposer sur ses propres mérites.
[Extrait de la Christian Science Sentinel du 11 mars 1933]
Les églises filiales et les sociétés, qui dans le champ ont activement coopéré avec la Société de Publications à l'œuvre de circulation, seront heureuses d'apprendre qu'on vient de nommer un Représentant pour le district environnant L'Église Mère; il s'y occupera de cette circulation, qui est une importante activité de la susdite église.
Le Plan pour la Circulation d'Exemplaires Marqués, utilisé depuis quelque temps pour Boston et ses faubourgs par le Département chargé de la Circulation à la Société de Publications de la Science Chrétienne, sera continué; et, comme on emploiera dans ce district les mêmes méthodes dont se servent les églises filiales, on espère que les Représentants de la Circulation dans d'autres localités pourront participer aux nombreuses et utiles expériences de l'élu à ce poste.
[Extrait de la Christian Science Sentinel du 18 mars 1933]
Les renseignements suivants, relatifs à la direction des trois Salles de Lecture de L'Église Mère, à Boston, répondent à des questions posées de temps à autre aux Directeurs de la susdite église.
Chaque Salle de Lecture a un bibliothécaire élu par le Conseil des Directeurs, et possédant les qualités que requiert l'Article XXI, Section 2 du Manuel de L'Église Mère.
La Salle de Lecture du Statler Building et celle de 60 Norway Street restent ouvertes pendant le soir; en outre, cette dernière donne accès au public le dimanche et les jours fériés. On nomme aussi quelqu'un pour seconder le bibliothécaire durant ces heures de travail. Chacune de ces trois Salles de Lecture dispose de deux aides ou plus, soit pour remplacer à midi le bibliothécaire préposé à ce poste, soit chaque fois qu'il doit s'absenter, et pendant les vacances. Les Salles de Lecture de L'Église Mère n'emploient pas d'auxiliaires non rétribués, bien que les églises filiales trouvent souvent convenable de le faire pour suppléer à leurs besoins. A Boston, la sphère d'activité des Salles de Lecture est si étendue que ceux qui occupent la position de bibliothécaire doivent pouvoir correctement s'occuper de divers travaux, y compris tenir la comptabilité du stock, et en dresser l'inventaire. Trop d'aides et de remplaçants portent préjudice à la responsabilité, et rendent moins efficace la direction du travail des Salles de Lecture. Les bibliothécaires des Salles de Lecture de L'Église Mère, dont l'expérience concernant leurs fonctions a beaucoup de valeur, ne sont pas changés à tout de rôle; ils occupent ce poste indéfiniment, bien qu'ils soient réélus chaque année.
Le Conseil des Directeurs statue les questions administratives, mais les bibliothécaires sont en grande partie responsables de la direction des Salles de Lecture.
Dans quelques Salles de Lecture de la Science Chrétienne, appartenant à des églises filiales, la coutume est de mentionner la liste de The Christian Science Journal à celui qui voudrait consulter un praticien; dans d'autres, un tableau porte les noms des praticiens de l'endroit, empruntés à la liste du Journal, ainsi que ceux des membres qui consacrent efficacement une part de leur temps à l'œuvre de guérison. Le Comité Directeur de chaque église filiale décide si cette sorte de liste doit être affichée dans leur Salle de Lecture, et quels noms doivent y figurer.
Les bibliothécaires des Salles de Lecture de L'Église Mère ont l'habitude, lors de renseignements à donner, au sujet des praticiens, de soumettre la liste du Journal; mais à de rares occasions ils doivent aider celui qui cherche le secours d'un praticien. Dans de tels cas, on lui donne le nom de plusieurs praticiens de l'endroit qu'il mentionne. En général, les bibliothécaires n'indiquent pas particulièrement quelque praticien sur la liste, car s'ils le faisaient souvent la chose pourrait être mal interprétée. Récemment, un monsieur nous écrivit qu'il se renseigna dans une Salle de Lecture et que la bibliothécaire lui répondit qu'elle ne pouvait recommander aucun des praticiens de la liste du Journal. C'est ce qu'il avait compris, tandis que, dans son idée, cette dame avait réellement voulu dire qu'elle n'était pas autorisée à choisir aucun de ces praticiens pour lui. Ceci dénote le soin qu'il faut apporter en répondent aux informations pour éviter ce genre de méprise. Expliquer à ceux qui se renseignent que la liste entière des praticiens est dûment approuvée par L'Église Mère aide généralement à leur faire comprender d'où vient qu'on les laisse choisir eux-mêmes.
