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Guéri du paludisme

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2003


Quand j’étais adolescent, je suis entré dans un internat de garçons, à environ 450 km à l’ouest de Nairobi. Cela impliquait un changement de climat pour moi.

J’étais au lycée depuis trois semaines lorsque j’ai commencé à avoir de la fièvre. Quand la direction du lycée l’a su, on m’a envoyé immédiatement à l’hôpital où on m’a fait des prises de sang. D’après les résultats, je souffrais du paludisme.

A mesure que le temps passait, on me prescrivait de nombreux comprimés dans différents emballages. Malgré tout cela, les symptômes sont revenus deux fois par semestre jusqu’en troisième année. Mes amis et mes professeurs supposaient qu’il était normal que je sois malade parce que je n’avais pas été élevé dans le climat chaud et humide des hauts plateaux. Cependant, moi je me demandais pourquoi la maladie revenait comme cela.

Pendant la deuxième moitié de ma troisième année, je suis devenu ami avec le head boy de mon école [élève en dernière année de lycée chargé de diverses responsabilités]. Je l’avais vu plusieurs fois tenant à la main un magazine. Je le lui ai emprunté un jour pour y jeter un coup d’œil, car j’aimais les photos de la couverture. C’était le Christian Science Sentinel. Je me souvenais d’avoir entendu parler de la Christian Science par l’intermédiaire d’un oncle, mais je n’avais jamais pris cette religion au sérieux.

Néanmoins, quand j’ai lu les récits de guérison dans le Sentinel, je me suis dit qu’il y avait un espoir. Je pouvais être guéri. Plus tard, cet ami m’a donné un Science et Santé. C’était en 1997.

Un jour, en classe, je me suis senti très mal et j’ai demandé à sortir. Je n’étais pas dans mon état normal, et j’ai demandé à un autre ami de me donner des comprimés de quinine, car je n’avais pas d’argent et je n’avais plus envie de retourner à l’hôpital puisque je ne m’y sentais jamais mieux. Il n’avait que quatre comprimés, et il m’en fallait dix. Je les ai pris malgré tout.

Les deux jours suivants, j’ai pu marcher et parler, mais le troisième jour, je me suis rendu compte que la médecine n’avait eu comme effet que de me consoler. Je n’étais pas guéri, j’avais seulement été apaisé pendant une courte période. Je me suis posé une question: « Tous les autres moyens ont échoué, alors qu’est-ce que j’attends pour m’en remettre à Dieu ? » J’étais malade, mais j’ai décidé d’essayer Dieu avant de demander à être emmené à l’hôpital.

Je me suis mis à lire Science et Santé. J’ai pensé qu’il fallait surtout que je comprenne le chapitre sur la prière. Cette phrase, à la page 2, m’a tout de suite aidé: « La simple habitude de plaider sa cause auprès de l’Entendement divin, comme on le fait avec un être humain, perpétue la croyance que Dieu est humainement circonscrit — erreur qui entrave le progrès spirituel. » C’était exactement ce que je faisais!

Je suis allé à la page 591 du Glossaire, dans Science et Santé afin de mieux comprendre le mot « Entendement » et j’ai découvert qu’une partie de la définition comprenait ces synonymes: Esprit, Ame, Principe, Vie, Vérité et Amour. Ce sont des noms pour Dieu, l’Entendement. Je me suis répété le mot « Amour » plusieurs fois jusqu’à ce que je sente que je comprenais réellement que Dieu est Amour. Puis je suis retourné à la page 2 et je me suis émerveillé devant ce passage: « Dieu est Amour. Pouvons-nous Lui demander d’être davantage? Dieu est intelligence. Pouvonsnous informer l’Entendement infini de quelque chose qu’Il ne comprenne déjà? Nous attendons-nous à changer la perfection? »

Je me suis tant absorbé dans l’étude de ces idées que j’ai fini par m’apercevoir que je n’avais plus peur. En outre, je n’avais plus à rassembler toutes mes forces pour empêcher mon corps de trembler.

C’est alors que j’ai su que j’étais guéri. Et c’était vrai. Je n’ai plus jamais eu d’attaques de paludisme pendant le reste de ma scolarité. Depuis, j’étudie avec ferveur la Christian Science. Cela fait 5 ans que je n’ai plus le paludisme ni aucune autre maladie. Je suis très reconnaissant à notre Maître, Jésus, et à Mary Baker Eddy pour tout ce qu’elle a fait afin de « rétablir le christianisme primitif et son élément perdu de guérison » (Mary Baker Eddy, Manuel de l’Église Mère, p. 17).


Je suis la mère d’Eugyne, et je peux attester de l’authenticité de cette guérison, parce qu’il est très obéissant et c’est lui qui m’a fait commencer l’étude de la Christian Science. D’ailleurs, toute la famille l’étudie depuis le jour où il a été guéri.


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