Vers l’âge de vingt ans, j’ai voulu en savoir davantage sur Dieu. Ne pouvant répondre à toutes mes questions, mon père m’a fait instruire par un professeur de religion. Mais cela ne m’a pas apporté les réponses spirituelles auxquelles j’aspirais. Les années passaient, et je cherchais toujours à comprendre Dieu.
Puis, un jour, quelqu’un m’a parlé de la Science Chrétienne, en précisant qu’il y avait une église filiale près de chez moi. Le jour suivant, je me suis rendue à la salle de lecture de la Science Chrétienne. Les deux personnes qui y travaillaient m’ont très gentiment accueillie. J’ai acheté un exemplaire de Science et Santé de Mary Baker Eddy.
J’avais hâte de lire ce livre. Au début, je n’y comprenais pas grandchose. Comme de nombreux énoncés demandaient une profonde réflexion, j’ai entrepris l’étude sérieuse de cet ouvrage. Peu après, je devenais membre de L’Église Mère. J’étais très heureuse de pouvoir enfin acquérir une meilleure compréhension spirituelle de Dieu.
Grâce à l’étude et à la pratique de la Science Chrétienne, j’ai eu de nombreuses guérisons. Des problèmes financiers se sont résolus, mes relations avec autrui sont devenues harmonieuses et je n’ai plus souffert de la solitude.
Il y a plusieurs années, une grosseur m’est apparue sur le cou. Elle s’est mise à se développer et à me faire mal; j’ai eu très peur. Ce verset d’Ésaïe m’a aidée à surmonter la crainte: « Ne crains rien, car je suis avec toi; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. »
Un jour, j’ai réfléchi à la causalité spirituelle; j’ai reconnu que Dieu, l’Esprit, est le Créateur, et que tout ce qui est dissemblable au bien, Dieu ne l’a pas créé. La maladie n’a donc aucune origine réelle et n’a jamais touché l’homme, l’idée spirituelle de Dieu. J’ai continué à méditer ces vérités spirituelles sans me laisser ébranler.
Lorsque la situation a semblé s’aggraver, j’ai été tentée d’abandonner. C’est alors que j’ai lu, dans Science et Santé, une phrase qui m’a fortifiée: « Il faut du courage pour proclamer la vérité; car plus la Vérité élève la voix, plus l’erreur crie fort, jusqu’à ce que le son inarticulé de sa voix se perde à jamais dans l’oubli. » La grosseur a bientôt diminué pour disparaître ensuite complètement, ne laissant aucune cicatrice. Je suis profondément reconnaissante pour cette merveilleuse guérison.
J’éprouve une vive gratitude envers Dieu et envers Christ Jésus qui nous a montré le chemin de la vie. Je rends grâce à Mary Baker Eddy d’avoir donné la Science Chrétienne au monde.
Jakarta, Indonésie
