Je suis très heureux de pouvoir faire part d'une guérison physique que j'ai eue depuis que je suis devenu Scientiste Chrétien. En juin 1987, j'ai été victime d'un accident de voiture qui a failli me coûter la vie. Je roulais à bord de ma voiture sur laquelle s'est abattu un gros véhicule, avec une telle force que ma voiture n'était plus qu'une épave. J'étais gravement blessé au bras droit, avec une fracture au même bras. J'avais un déplacement de la rotule de la jambe gauche et plusieurs autres blessures. Tout surpris, je me suis vu acheminé à l'hôpital.
Dans la salle des urgences, le médecin voulait panser les blessures et plâtrer le bras droit. J'étais cependant convaincu que la Science Chrétienne
Christian Science ('kristienn 'saïennce) guérit dans tous les cas; aussi décidai-je de refuser même le moindre soin. Le docteur se contenta de laver mes plaies avec de l'eau potable. Ma femme me ramena ensuite à la maison.
Ayant regagné mon logis, je ne pouvais plus marcher. Les voisins du quartier sont venus s'attrouper autour de moi, inquiets de mon état. La nouvelle ayant connu une très large diffusion était tellement douloureuse que tous les membres de ma famille s'attendaient à mon trépas. La plupart des visiteurs m'apportaient des médicaments qu'ils me recommandaient d'appliquer sur les blessures. Je ne les ai pas utilisés.
Le même jour, avant que je ne me mette au lit, j'ai constaté un gonflement sur le bras droit et sur le genou de la jambe gauche; malgré la douleur atroce, je me suis efforcé de lire Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. J'y ai étudié la définition de l'homme donnée dans le chapitre « Récapitulation », ainsi que quelques autres passages. Je me suis senti déjà presque rétabli le lendemain matin. Je pouvais bouger la jambe gauche et le bras droit qui n'étaient plus douloureux et qui avaient retrouvé leur forme normale, sans la moindre enflure.
Après avoir pris un bain, je suis allé faire un parcours d'environ trois kilomètres à pied et je n'ai ressenti aucun mal. Tout le monde qui s'attendait à mon hospitalisation était stupéfait de me voir marcher convenablement. Toutes les blessures ont été guéries en moins d'une semaine.
Pour cette guérison, je remercie infiniment notre Père-Mère Dieu, notre unique médecin véritable.
Matete, République du Zaïre