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[Original en espagnol]

« La parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1989


« La parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moëlles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur » (Hébr. 4:12).

Ma sœur fut en mesure de ressentir les effets guérisseurs de la loi de la Vie éternelle en lisant Le Héraut de la Science Chrétienne alors qu’elle souffrait d’une maladie grave qui l’incommodait depuis bien des années. Elle avait subi des traitements médicaux, sans amélioration permanente ni guérison.

Soudain, il se déclara une hémorragie et elle dut être envoyée de toute urgence dans une clinique. C’est alors que les docteurs, après lui avoir fait subir un examen endoscopique de l’estomac, déclarèrent qu’elle avait de nombreux ulcères perforés. A leur avis, elle ne pouvait être opérée; la chirurgie ne pouvait donc rien faire pour elle.

C’est à ce point que j’appris, par téléphone, l’état de ma sœur. Avant de quitter la maison, je pris un Héraut pour le lui apporter. Je saisis le premier qui me tomba sous la main. Il me vint ensuite à l’esprit que j’aurais dû en choisir un qui contienne un article ou un témoignage relatif à sa maladie. Mais je me dis alors: Pourquoi chercher un autre Héraut ? Chacun met en relief la Vérité divine qui répond au besoin humain.

J’allai voir ma sœur, que je trouvai très découragée et n’espérant rien. Je sortis le Héraut et le lui donnai. En le lui tendant, je vis, sur la couverture, que l’un des articles avait pour titre « Chirurgie mentale ». J’essayai de la réconforter en lui disant: « Les docteurs t’ont abandonnée, mais c’est Dieu qui est ton docteur; c’est Lui qui est ton chirurgien ». A contre-cœur, elle prit le Héraut, qu’elle posa sur le lit. Sa fille, qui avait entendu ce que je lui avais dit, lui demanda de le lire, en ajoutant: « Peut-être contient-il quelque chose dont tu as besoin. » Lorsque sa belle-fille, elle aussi, l’eut encouragée à le consulter, ma sœur consentit à prendre le Héraut dans ses mains.

Avant de repartir, je lui recommandai une fois de plus de le lire et de mettre toute sa confiance en Dieu. Je l’assurai qu’elle était l’enfant de Dieu, donc qu’elle était déjà en bonne santé et qu’elle le serait toujours. Je lui dis que Dieu ne connaissait pas d’échec. Cela lui communiqua un intense sentiment de sécurité et de confiance dans le pouvoir guérisseur du Christ.

Le lendemain, je n’eus pas de nouvelles. Mais comme elle devait passer bien des heures dans la salle d’examens, je projetai d’aller la voir le jour suivant. Le matin même, elle me téléphona pour me dire qu’elle était chez elle, complètement guérie. J’accourus aussitôt. Elle sortit à ma rencontre, pour me dire: « Regarde, maintenant, je suis bien portante. »

Elle me raconta que le Héraut que je lui avais apporté contenait un récit qui correspondait à son cas (voir Luc 8:43–48). C’était l’histoire de la femme qui vint vers Christ Jésus, à travers la foule, et toucha le bord de son vêtement. Elle était certaine qu’en agissant ainsi, elle serait guérie de l’hémorragie dont elle souffrait depuis douze ans et que les docteurs étaient incapables de guérir.

En lisant cela, ma sœur eut l’impression d’être celle à qui s’adressaient les paroles de Jésus: « Ma fille, ta foi t’a sauvée; va en paix. »

Le lendemain matin, lorsqu’ils l’amenèrent dans la salle d’examens, elle se sentait très calme, persuadée qu’elle était en bonne santé et qu’ils ne découvriraient pas de maladie chez elle. Il en fut ainsi. Toute la matinée, elle subit des examens, mais tous se révélèrent négatifs. Les docteurs ne réussirent pas à trouver ce qu’ils avaient vu la veille.

Au cours des semaines qui suivirent, la famille eut des doutes, et emmena ma sœur passer des examens chez d’autres docteurs. Ils ne pouvaient pas accepter le fait que tout avait changé du jour au lendemain. Mais la réponse était toujours la même: « Elle n’a absolument rien. » Interrogé par la famille, l’un des docteurs répondit: « J’ai fait tous les examens possibles. » Puis il félicita ma sœur en disant: « Vous vous portez mieux que moi. Je voudrais bien avoir votre santé. »

Depuis lors, ma sœur mène une vie normale. Quatre mois après sa guérison, nous avons pris l’avion ensemble pour rendre visite, au Brésil, à des membres de la famille. Elle affronta les changements de nourriture et de température sans aucune difficulté et se sentit en parfaite santé.

Dieu, notre Père-Mère, est l’Amour infini, impartial et universel. Il prend soin de tous Ses enfants bien-aimés. Mary Baker Eddy l’exprime à merveille dans son livre Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 518): « Dieu donne l’idée moindre de Lui-même comme chaînon à la plus grande, et en retour, la plus grande protège toujours la moindre. Les riches en esprit aident les pauvres, formant une grande fraternité, ayant tous le même Principe, ou Père; et béni est celui qui voit le besoin de son frère et y pourvoit, trouvant son propre bien en cherchant celui d’autrui. »


Les faits sont exactement tels que ma sœur les a relatés. C’est avec beaucoup de plaisir que je confirme la belle guérison que j’ai eue. Je suis très reconnaissante à la Science ChrétienneChristian Science (´kristienn ´saïennce).

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