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Au sortir de l'adolescence, je trouvais la vie de moins en moins satisfaisante...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1988


Au sortir de l'adolescence, je trouvais la vie de moins en moins satisfaisante et je me mis à chercher dans de nombreuses directions. La Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce) fut présentée à ma mère alors qu'elle traversait une dure épreuve. Le fait qu'elle ait accepté de tout cœur les enseignements de la Science m'incita à me renseigner sur cette religion.

Quel grand bien cela a représenté pour moi d'étudier la Science Chrétienne ces douze dernières années ! Je suis reconnaissante d'avoir reçu une bonne éducation religieuse au départ et aussi d'avoir eu une mère dont l'exemple m'a convaincue de l'importance de la spiritualité.

Je me souviens très nettement de ma première réunion de témoignage du mercredi soir. La gratitude sincère exprimée ce soir-là et la position radicale en faveur du bien que prenaient des gens comme vous et moi me toucha à tel point que je pris la décision d'appofondir ce merveilleux enseignement. Je devins très vite membre de L'Église Mère et d'une église filiale.

Bien des guérisons merveilleuses se sont produites dans notre famille. Plusieurs d'entre elles m'ont particulièrement marquée.

A une certaine époque, ma vie semblait si tendue et si agitée que j'étais incapable de me concentrer sur les Leçons bibliques quotidiennes indiquées dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne et de prier avec efficacité. Il me semblait être submergée par des problèmes de relations personnelles, par les tensions auxquelles me soumettait mon travail dans la vente et par le fait d'avoir à élever seule mon enfant.

Un matin, je découvris que j'avais une petite grosseur douloureuse au sein. Au début, je fus terrifiée. Mais, très vite, j'eus recours à Dieu en priant. Je niai avec véhémence toute possibilité de maladie et affirmai ma nature véritable d'enfant parfaite de Dieu.

C'était un mercredi et, ce soir-là, j'assistai à la réunion de témoignage dans mon église filiale. Une des personnes qui se leva fit remarquer combien il est important de nier toute suggestion insinuant que Dieu n'est pas maître de la situation. Je sus que c'était l'idée dont j'avais besoin: je devais nier, fidèlement et sans relâche, la suggestion que cette situation puisse avoir un pouvoir quelconque sur moi, et affirmer le pouvoir infini de Dieu sur ma vie. Je m'efforçai aussi de purifier ma pensée et mes actes. Bientôt, la grosseur disparut.

Quelque temps après, une excroissance douloureuse se développa sur le bras de mon fils. Je commençai à prier à ce sujet et je demandai aussi de l'aide par la prière à une praticienne de la Science Chrétienne. Mon fils fut bientôt guéri et le problème ne s'est plus représenté. Je me suis réjouie bien des fois de cette merveilleuse preuve du divin pouvoir de guérir !

Ces deux guérisons m'ont enseigné que la croissance véritable est spirituelle et que nous sommes bénis par les efforts que nous faisons pour grandir spirituellement. Dans le deuxième cas, il y eut bien plus que la guérison de mon fils. Après avoir prié, la praticienne et moi, il apparut évident que j'avais besoin de paix et de pureté de pensée. Je me mis activement au travail pour apprécier et exprimer ces qualités. Peu à peu, ce travail porta ses fruits: j'eus de nouvelles relations, un nouvel emploi et un sentiment plus profond de l'amour et de la miséricorde de Dieu.

A une autre époque, je reçus des appels téléphoniques obscènes, jusqu'à quatre ou cinq par jour. Au début, j'avais très peur. Je commençais à observer mes voisins et mes connaissances avec méfiance. Je craignais pour mon fils et je gardais les portes fermées à clef à toute heure du jour et de la nuit. Chaque fois que l'homme appelait, je raccrochais.

Je priais pour comprendre que les enfants de Dieu sont tous bons et purs; mais comme je continuais à me livrer à la colère et à la peur, je me rendis compte qu'il me fallait appeler une praticienne pour lui demander de l'aide. Elle accepta de prier pour moi et me parla aussi d'une autre praticienne qui, recevant des appels du même genre, parlait chaque fois à l'homme de son identité véritable d'enfant de Dieu. L'individu avait été guéri.

Cette histoire m'inspira ! Lorsque l'homme me rappela, je lui parlai de Dieu et de son identité véritable, l'image et la ressemblance de Dieu. Il me fallut surmonter beaucoup de peur et de colère pour pouvoir penser à cet individu d'une façon spirituelle. Au début, c'est lui qui raccrochait ! Mais bientôt, il changea, et au lieu de murmurer des obscénités, il me confiait à mi-voix ses difficultés. J'écoutais et je lui disais ce que je savais sur le pouvoir guérisseur de Dieu. Bientôt les appels diminuèrent jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus, sauf un dernier, pour des excuses.

Je suis extrêmement reconnaissante à la Science Chrétienne. Aucune difficulté ne peut échapper à l'intervention de notre Père céleste, qui nous aime et nous guérit.


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