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Il y a des années, une amie qui m’est chère m’a donné comme...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1982


Il y a des années, une amie qui m’est chère m’a donné comme cadeau de mariage un exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. Comme à ce moment-là, je ne m’y intéressais pas, le livre fut relégué sur une étagère. Je ne me doutais pas qu’avant peu, il m’aiderait à établir ma vie sur une base spirituelle.

Un an plus tard, je mettais au monde un bébé vigoureux. Toutefois, quand il eut six mois, il souffrit de graves troubles gastriques. Un médecin le soigna, mais la situation ne s’améliora pas. Un jour, après avoir remarqué que l’enfant n’allait pas mieux après lui avoir donné le médicament prescrit, j’appelai le médecin. Il n’était pas en ville, et j’hésitais à voir un autre médecin, de peur qu’il ne donne à notre fils une nouvelle dose encore d’un remède puissant. Je décidai de ne pas prendre ce risque.

Seule avec le bébé, je me souvins du cadeau de mon amie, Science et Santé, et comment elle avait expliqué que des guérisons avaient été accomplies simplement par l’étude de ce livre. Si cela marche pour les autres, pensai-je, cela devrait aussi marcher pour moi. En l’ouvrant au hasard, je tombai sur la Prière du Seigneur avec son interprétation spirituelle donnée par Mrs. Eddy. Ayant été élevée dans une religion protestante, cette prière m’était familière. Mais l’interprétation du premier verset me remua profondément (p. 16):

« Notre Père qui es aux cieux !
Notre Père-Mère Dieu, tout harmonieux. »

Jusque-là j’avais pensé à Dieu seulement en tant que Père. Mais pour quelqu’un ayant perdu sa mère à l’âge de douze ans, cette nouvelle vision de Dieu comme étant à la fois Père et Mère eut un effet profond sur moi. Un sentiment de sécurité m’envahit quand je pris conscience que je n’avais plus à me sentir seule désormais. Je m’absorbai dans la lecture du livre jusque tard dans la nuit. Le bébé s’était profondément endormi — notre première nuit tranquille depuis bien des jours. Ce fut la fin des troubles gastriques. Quand notre fils se réveilla, il était parfaitement bien.

Comme je désirais en savoir davantage sur la Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce) après avoir vu cette belle guérison, j’écrivis à mon amie pour lui demander si je pouvais venir à l’église filiale qu’elle fréquentait. Elle me répondit rapidement par une invitation pleine d’amour. Je devins membre de L’Église Mère et d’une filiale de l’Église du Christ, Scientiste, peu après. Et plus tard, je suivis le cours de Science Chrétienne.

Une praticienne de la Science Chrétienne pria pour moi au moment où notre fille vint au monde. La naissance, assistée par une sagefemme diplômée bien disposée envers la Science Chrétienne, se fit harmonieusement.

Mon mari, qui n’était pas alors un étudiant de la Science, ne s’opposa pas à ce que je reçoive des traitements par la Science Chrétienne, mais il exprimait souvent sa désapprobation quand les enfants étaient en cause. Un jour, après avoir parlé avec une praticienne, je décidai de demander à mon mari de donner une occasion à la Science Chrétienne de guérir les enfants. Je lui dis que si jamais une difficulté surgissait qui ne soit pas guérie en un jour, il était libre d’emmener les petits chez un médecin. Il donna son accord, mais il ne trouva jamais nécessaire d’avoir recours aux soins médicaux, car dans chaque cas, l’enfant fut guéri rapidement par la prière.

Il y a eu bien des guérisons; parmi celles-ci, je citerai celles d’infections, d’hémorrhoïdes, de plaies ouvertes et de varicelle. Des objets perdus ont été retrouvés, et la pénurie a été peu à peu remplacée par l’abondance. Notre fils a été guéri de la jaunisse en quatre jours. Notre fille a été guérie de symptômes de ce qui semblait être l’appendicite. Elle fut libérée de la crainte et de la douleur en chantant la traduction indonésienne du cantique 267 de notre Hymnaire de la Science Chrétienne. Il nous rappelle: « O Dieu, grand Tout-en tout, /Tes fils ne craignent rien. » Une autre fois, lors d’un voyage en Europe par avion, elle fut libérée d’un mal d’oreilles. Parmi les vérités auxquelles elle réfléchit, il y avait les paroles d’une traduction du cantique 148 qui commence ainsi: « En l’Amour je demeure,/Je ne crains nul danger. » Vous pouvez imaginer combien nous sommes reconnaissants pour les traductions.

Neuf ans après que la Science m’eut été présentée, mon mari, qui avait été témoin de toutes ces guérisons, ouvrit vraiment son cœur à notre Père-Mère Dieu. Pendant une période de troubles politiques, il se jeta littéralement sur les livres — la Bible et Science et Santé — disant: « Ils ont été là tout ce temps, mais c’est la première fois que je les lis ! » Il devint membre de notre église filiale peu de temps après.

Nos activités sont maintenant enracinées dans ce que nous avons appris grâce à la Science Chrétienne, et grâce à notre compréhension spirituelle croissante, nous voyons plus distinctement que Dieu est la seule Vie de l’homme. Nous avons véritablement trouvé la « perle de grand prix ».


Je suis heureux de confirmer le témoignage de ma femme et d’y joindre ma gratitude pour les nombreuses guérisons que j’ai eues depuis que j’ai entrepris l’étude sérieuse de la Science. Je suis également reconnaissant d’avoir suivi le cours de Science Chrétienne et d’être membre d’une église filiale et de L’Église Mère.

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