Je fis connaissance de la Science ChrétienneChristian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce. grâce à l'amabilité d'une voisine. J'étais très malade depuis de nombreuses années. A la vue de mes souffrances, elle me conseilla de me faire traiter par une praticienne de la Science Chrétienne; également de me procurer le livre d'étude, Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, et de l'étudier. Je suivis son conseil et en quelques semaines j'étais guérie.
Il y a quelque temps, je rencontrai tout à fait par hasard un de mes anciens médecins; il m'avait soignée en vain pendant des années. En 1964, il m'avait dit que rien, ou presque rien, ne pouvait être fait pour améliorer l'état dans lequel je me trouvais alors. En me croisant, il me salua. Je vis qu'il n'était pas très sûr de qui j'étais et je lui dis: « Vous n'avez pas l'air de me reconnaître, docteur ? »
Là-dessus, il me regarda avec attention, vint vers moi et me serra la main en disant: « Excusez-moi, mais je ne vous aurais jamais reconnue. Vous avez changé, vous êtes toute différente ! Votre visage s'est rempli ! Qu'estce qui s'est passé ? »
Et puis il me demanda comment j'allais et je lui répondis: « Très bien ! Mieux que je n'ai jamais été depuis des années. »
Il semblait intrigué, et il me demanda ce que j'avais fait. Je lui dis alors que j'avais abandonné le traitement médical et que j'avais adopté la Science Chrétienne et que c'était là le résultat. Toujours perplexe, il me dit: « J'aimerais vous voir marcher. » (J'avais boité fortement pendant dix ans, à la suite d'une attaque.)
Je répondis: « Je peux marcher aussi bien que vous, docteur. »
Puis il demanda à regarder ma main et mon bras, qui avaient également été partiellement paralysés. Il me questionna ensuite au sujet de mon dos, car il savait que, sur ordre d'un chirurgien orthopédique, j'avais dû porter un corset d'acier. Je souffrais d'une forte déviation de la colonne vertébrale, de calcification et d'arthrite. Je lui dis alors que je n'avais plus aucun besoin d'appareils de ce genre-là. Il ne trouva rien d'autre à répondre que: « C'est extraordinaire ! C'est trop merveilleux ! Eh bien, continuez dans cette excellente voie ! »
Les mots ne peuvent exprimer ma profonde gratitude envers Dieu pour le Christ qui guérit et pour les vérités que j'ai découvertes en étudiant et en mettant en pratique la Science Chrétienne. Je suis également très reconnaissante pour l'aide bienveillante et efficace qu'apportent les praticiens dévoués. Vraiment « ma coupe déborde » (Ps. 23:5).
Boksburg (Transvaal), Afrique du Sud
