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« L'appel du clairon »

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1967


Les témoignages de guérison publiés chaque année dans les périodiques de la Science Chrétienne prouvent bien que des milliers d'hommes et de femmes à travers le monde ont entendu et continuent d'entendre ce que Mrs. Eddy dénomme « l'appel du clairon ». Rudiments de la Science divine, p. 2 ;

A quelqu'un qui lui demandait si la guérison de la maladie constituait le tout de la Science Chrétienne, elle répondit avec sa franchise habituelle: « La guérison de la maladie physique est la moindre partie de la Science Chrétienne. Elle n'est que l'appel du clairon qui convie à la pensée et à l'action, dans le domaine plus élevé de l'infinie bonté. »

C'est donc pour prouver que la bonté de Dieu est la seule réalité, qu'à notre époque la Science Chrétienne a été révélée avec ses préceptes et ses règles à suivre. Il s'ensuit que toute pensée, tout acte de nature opposée au bien divin sont sans réalité, donc sans pouvoir et ceci est démontrable. La mission de Mrs. Eddy à notre époque, comme celle de Christ Jésus il y a presque deux mille ans, fut de montrer le chemin de la régénération, comment « naître de nouveau », Jean 3:3; selon les paroles de Jésus à Nicodème. La Science Chrétienne apprend aux mortels comment se dépouiller « du vieil homme avec ses œuvres », Col. 3:9, 10; comme dit Paul, et se revêtir « du nouvel homme qui se renouvelle sans cesse, à l'image de celui qui l'a créé ».

Bon nombre d'entre nous se sont tournés vers la Science Chrétienne, non pas d'abord pour une guérison physique, mais pour comprendre Dieu et Sa relation avec l'homme d'une façon plus satisfaisante, plus méthodique, que la théologie erronée ne l'avait permis. Dès les premières leçons, joyeusement, nous avons presque tout de suite entr'aperçu le « nouvel homme », créé à l'image de Dieu. Nous nous sommes sentis libérés du poids de la propre condamnation qui s'appuie sur les erreurs du passé et laisse parfois des cicatrices mentales. Nous avons été vite convaincus de la certitude de notre proche liberté en lisant des passages de la plume de Mrs. Eddy, tels que: « Se défaire du péché par la Science, c'est dépouiller le péché de tout entendement ou réalité supposés, et ne jamais admettre qu'il puisse y avoir intelligence ou pouvoir, douleur ou plaisir dans le péché. » Science et Santé, p. 339; Peut-être en étions-nous là où, après avoir vu combien les prétendus plaisirs du péché sont précaires, les souffrances qui en résultent nous avaient amenés à vouloir nous dépouiller « du vieil homme ».

« La moindre partie de la Science Chrétienne », la guérison physique, survint dans l'expérience de l'auteur après quelques démonstrations de l'impuissance de l'erreur face à la Vérité. Soucieux depuis longtemps de sa santé et de celle des siens, il devint tout à coup victime de fièvres périodiques. Résistant aux instances de sa famille en faveur d'un diagnostic, il refusa et résolut de dépouiller le « vieil homme » davantage et de faire toute la place au « nouvel homme. Il rechercha une vision plus claire de la bonté de Dieu et de la proximité de l'Esprit. Lisant ces paroles de Mrs. Eddy, il se sentit rassuré, plein d'espoir: «Tôt ou tard nous apprendrons que les entraves des facultés finies de l'homme sont forgées par l'illusion qu'il vit dans le corps non dans l'Ame, dans la matière non dans l'Esprit. » p. 223; Comprenant mieux que l'Entendement gouverne le corps, et que la matière n'a pas de sensation, les fièvres cessèrent. Ce fut aussi le début d'une série de victoires sur des croyances diverses, victoires parfois lentes mais riches en progrès.

Ceux qui étudient la Science Chrétienne, à une époque de guerres et de rumeurs de guerres, tendent particulièrement l'oreille à « l'appel du clairon qui convie à la pensée et à l'action ». Il ne leur suffit pas, l'ayant entendu, de s'être haussé quelque peu « dans le domaine plus élevé de l'infinie bonté ». Ils doivent aussi s'assurer de ce que toute oreille attentive l'entende de même. Leur pensée réveillée protège et bénit ceux sur qui elle se pose. Ils ne prient point exclusivement pour eux-mêmes. Leurs prières affirment que vraiment Dieu est disponible pour tous ceux qui Le cherchent et elles revendiquent l'établissement de Son royaume sur la terre comme au ciel. Christ Jésus nous l'a promis: « Celui qui est issu de Dieu, écoute les paroles de Dieu. » Jean 8:47.

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