Une toute petite fille, qui s'appelle Joy, aime penser à Dieu et parler de Lui. Il y a quelque temps, son père vendit sa maison, et la famille alla s'installer ailleurs. Le jour du déménagement, tout était sens dessus dessous, chacun avait beaucoup à faire, et Joy put sentir qu'on n'était pas heureux comme d'habitude. Elle courut vers sa mère qui paraissait fatiguée, et lui dit: « Maman, c'est le bon Dieu l'important! » Avec une profonde reconnaissance, la maman vit que même dans une journée si remplie, Joy pensait d'abord à Dieu. Cessant son travail, la mère de famille médita sur la bonté de Dieu, sur Sa présence constante. Quelques instants plus tard, elle se sentit tout à coup guérie d'une chose prétendant lui faire croire qu'elle était malade. La journée finit très bien, et l'on vint sans peine à bout du travail.
Jésus aimait les petits enfants. Un jour, ses disciples lui demandèrent: « Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux? » Comme nous l'apprend la Bible, « Jésus, ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d'eux, et dit: Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux. » Le mot « convertir » est facile à comprendre; il signifie changer de pensée, abandonner le mal pour le bien. C'est en pensant juste qu'on entre dans le royaume des cieux. Au fait, quand on pense comme un enfant de Dieu, on voit qu'en réalité l'on vit déjà maintenant dans ce royaume. Et comme il y fait beau! Car là où est Dieu, tout est bien. A ce sujet, un auteur écrit:
« La bonté guérit, calme la souffrance;
Aimer, c'est le ciel — aimer chaque jour.
La paix régnerait, ô douce assurance,
Si chacun de nous pratiquait l'amour. »
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